Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Présentation

  • Lyzis et son L
  • : 10/12/2007
  • : Lire : Ici

Fantaisies imaginaires

Jeudi 17 juin 4 17 /06 /Juin 06:20


En acceptant l’invitation de mon collègue, je n’aurais jamais pu imaginer ce qui m’attendait.

J’arrivais donc ce lundi soir, à vingt heures, un bouquet de fleurs à la main.

Je découvris sa femme pour la première fois lorsqu’elle ouvrit la porte. Je savais qu’elle avait une petite quarantaine, mais je n’avais pas imaginé qu’elle la portait aussi merveilleusement. Son sourire, à la fois mutin et réservé… ses yeux immenses, légèrement maquillés…la sveltesse de sa silhouette et sa tenue légère… tout respirait la jeunesse.

J’étais intimidé, mon compagnon de bureau d’une dizaine d’année de plus que moi et avec qui nous plaisantions depuis presque un an maintenant, m’invitait chez lui pour la première fois. Je tendis donc mes fleurs et attendis gauchement sur le seuil que lui-même apparaisse enfin.

Il passa la tête par la porte du salon et éclata de rire en voyant mon air embarrassé.

-Ma femme t’effraye ? Elle est très douce tu sais… elle a déjà préparé le dîner… nous n’avons donc pas besoin de viande supplémentaire…

Son humour me surprenait toujours… il aurait pu faire allusion au fait que son absence aurait pu être équivoque… ou encore à mon manque de témérité… mais non ! Il parlait de moi comme d’un vulgaire morceau de viande me mettant tout de suite à l’aise par l’incongruité de ses propos…

 

Sa femme eut un petit rire joyeux et s’éloigna. Je ne pus m’empêcher de remarquer les mouvements de ses hanches que sa jupe courte amplifiait. Lorsqu’elle disparut dans la cuisine, je relevais les yeux et compris que son mari avait fait de même. Nous échangeâmes un regard qui en dit long sur l’entente qui nous liait… nous apprécions l’un comme l’autre la vision qu’elle nous avait offerte…

 

Bien installés dans les fauteuils du salon, nous discutions avec plaisir, ne nous interrompant que pour profiter des apparitions délicieuses de son épouse. Elle faisait des vas et vient entre la cuisine et nous, portant de petits toasts chauds, remplissant nos verres vides, débarrassant les assiettes que nous avions vidées. J’avais vite compris que mon comparse appréciait que je me régale autant que lui des pas dansant de sa compagne. Elle avait une démarche chaloupée des plus agréable. Son chemisier blanc légèrement trop ouvert laissait apercevoir la naissance de ses seins ronds et blancs et l’alcool aidant, je commençais à m’enhardir et à prolonger plus que nécessaire mes incursions visuelles.

Lorsqu’elle vint nous annoncer que le repas nous attendait, je la suivis avec plus d’empressement qu’il n’eut été convenable en temps ordinaire.

 

Le dîner calma mes ardeurs. Nous devisâmes tous trois avec animation. Elle était relativement silencieuse, mais ses interventions pertinentes et parfois même impertinentes nous ravissaient.

Lorsqu’elle se leva pour apporter le café, je sentis soudain l’atmosphère changer… Elle revint avec les joues légèrement rosés et ne se rassit pas entre nous. Elle resta debout près de son mari, les mains derrière le dos et les yeux troubles.

Lui, continua de converser avec moi comme s’il n’avait rien remarqué et bût tranquillement le breuvage brûlant.

Il posa sa tasse et leva enfin les yeux vers elle.

- Bien, allez chercher le carnet rouge ma chère.

Elle s’agita soudain… je pouvais deviner dans ses yeux une prière muette… elle me jeta un regard désespéré puis détourna les yeux aussitôt. Tout son corps exprimait un soudain malaise… elle triturait ses doigts dans son dos comme une fillette de dix ans…

- Vous saviez à quoi vous attendre… vous l’avez voulu… maintenant il est trop tard. Dépêchez-vous avant que je ne soit obligé d’y aller moi-même.

Elle partie presque en courant sur la pointe des pieds.

Je devais avoir un air de totale incompréhension. Ce soudain vouvoiement, cet émouvant trouble, cette panique même… je ne comprenais pas du tout ce qui se passait.

- Ne t’inquiète pas, le lundi est chez nous le soir des comptes.

Des comptes ? J’étais encore plus perplexe. Je me sentais soudain très mal à l’aise. Je ne voyais pas pourquoi ils n’avaient pas attendu mon départ pour faire leurs comptabilités de la semaine et je comprenais la gêne que cette femme avait ressentie à l’idée d’exposer leur vie financière devant un étranger. 

- Je vais vous laisser. Je ne veux surtout pas vous déranger.

- Non, non ! Elle savait depuis lundi dernier que tu serais là ce soir… elle est responsable. Si elle avait voulu éviter cela, elle aurait fait le nécessaire. Elle aime jouer avec le feu. Mais ne t’inquiète pas, je vois que tu es un peu désorienté. Tu vas apprécier… j’en suis sur… je te connais assez maintenant pour en être certain.

Je me sentais un peu pris au piège. J’étais à la fois, curieux de comprendre de quoi il parlait, mais en même temps, j’étais inquiet de la tournure des évènements.

 

Je n’eus pas le loisir de me poser trop de questions, elle revint rapidement. Son regard me fuyait et cela me perturbait. En même temps, ses yeux semblaient graves, mais le rouge de ses joues encore plus prononcé et le sourire qu’elle avait du mal à contenir, démentaient cette gravité.

Je choisis de ne plus me questionner et de laisser faire. Je restais donc perplexe et attentif.

Elle reprit sa place bien droite près de lui, et lui tendit un petit carnet à la couverture rouge, ainsi qu’un lourd stylo de métal.

Il l’ouvrit et commença à annoncer sur un ton sentencieux :

- Bien ! Deux verres cassés mercredi, cela fait donc 10

Le repas de jeudi brûlé, cela fait encore 10 ce qui nous fait 20

Vous avez tirez trois fois la langue à mon intention lorsque je vous ais reprise, ce qui nous fait 15, et nous arrivons donc à 45…

Il leva les yeux vers elle qui gardait les siens baissés depuis qu’il avait commencé à écrire.

-Dîtes moi un peu ma jolie ! Vous saviez que nous aurions un invité ce soir ?

Elle hocha timidement la tête, ses joues s’empourprant de nouveau.

- Vous avez donc sciemment fait tout cela en sachant que vous auriez un spectateur ?

Cette fois, elle resta écarlate, et dansa d’une jambe sur l’autre sans donner de réponse. Son attitude de petite fille prise en faute me remua. Je la trouvais soudain vraiment délicieuse. Je m’imaginais à sa place à lui, provoquant chez cette jolie femme une émotion juvénile…

- Cela mérite que nous multipliions le tout par deux, soit un total de 70.

Elle avait, à cette annonce, écarquillé les yeux et son visage était devenu implorant.

- Et oui ma belle, nous dépassons les cinquante, vous finirez donc au salon comme il se doit.

Il referma le carnet rouge, recula sa chaise et lui tendit la main.

 

Il se passa alors une chose que je n’aurais jamais imaginé voir de mes propres yeux.

Elle baissa de nouveau les yeux, posa délicatement sa petite main fine dans la sienne et se laissa aller en avant, s’installant en travers de ses genoux.

Il plia lentement le tissu de la jupe jusque sur sa taille et sous mes yeux interdits, il baissa paisiblement la culotte de coton blanc de sa femme jusqu’à ses genoux.

Il avait pris soin de s’installer de façon à m’offrir une vue imprenable sur les rondeurs blanches et charnues de celle-ci. Je restais un moment admiratif et incrédule… j’avais compris instantanément que j’allais assister à la fessée de cette magnifique dame. Une poussée d’excitation me fit me trémousser sur ma chaise et quand je réussi à quitter le tableau hypnotique de cette belle paire de fesses, je rougis en m’apercevant que son mari me regardait intensément le sourire aux lèvres.

Il me fit un clin d’œil et leva la main qui s’abattit avec fracas sur le fessier dénudé.

 

Il compta dix bonnes claques qu’il répartit avec art sur toute la surface. Puis, caressa délicatement la peau à peine rosée. Elle n’avait pas émis un son, pas résisté, pas gigotté.

De son bras gauche, il enserrait la taille fine de son épouse, la plaquant contre lui. Il leva de nouveau la main et cette fois, il fit tomber vingt fessées rapides et cinglantes avant de palper de nouveau les rondeurs qui avaient prises une teinte plus carminée. Elle s’était agitée, avait rué un peu mais n’avait toujours pas protesté.

Les dix suivantes furent très appliquée… rougissant les endroits encore pâle… sur un rythme plus désordonné. Chacune la surprenait, elle tressaillait et poussait de petits cris étouffés. Je sentais mon sexe vibrer à chacun de ses sursauts. La proximité de ses fesses nues… sa position indécente… sa fragilité sous le joug de son mari… Tout concourait à me brouiller délicieusement l’esprit et à faire enfler mon désir…

Il fit une pose plus longue, pétrissant, malaxant, effleurant le cul offert. Il s’amusait à tracer de longues lignes blanches de ses ongles sur la peau brûlante. Elle se mit à gémir doucement… comme un doux chant de bien être…

Il la laissa chanter un moment puis d’un coup, sans prévenir, il la fessa rudement. Elle ne retint plus ses cris et je compris bientôt qu’elle laissait aussi aller ses larmes…

Au bout de dix, il glissa rapidement sa main entre ses cuisses et devant moi, il la caressa rapidement. Aux bruits mouillés que j’entendais, je compris qu’elle était trempée et au cri aigu qu’elle poussa soudain ainsi qu’à la tension de tout son corps, qu’elle jouissait sans retenue. Elle avait oublié ma présence ou ma présence avait décuplé son plaisir… je ne le sus jamais, mais cela me procura un moment de pure délectation… j’étais transporté par ce spectacle si intime… excité au possible par la sensualité de l’instant.

 

Cependant, je n’avais pas encore tout vu et je n’étais pas au bout de mes surprises…

 

 

Suite : Troublante invitation 2

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
Voir les 8 commentaires - Ecrire un commentaire
Jeudi 1 avril 4 01 /04 /Avr 06:29

Il relève sa jupe … plaquant de nouveau ses poignets au mur… haut…

Il la fixe dans la ceinture et prend un de ses seins en otage… il presse son grand corps contre le sien… et ses lèvres sur les siennes…

Elle se noie… son esprit se laisse envahir… un brouillard de bien être la submerge…

Il se détache d’elle et descend sa main sur son ventre tendu…

Il insinue délicatement un de ses doigts dans la fente humide…

Il caresse finement la perle qui s’y cache…

Elle se cambre… s’arc… le feu incendie sa chaire… la langue de lave atteint son cœur…

Il cesse… se retire… s’écarte… lui arrache un cri de détresse… de colère… de frustration…

 

Il attrape alors une de ses jambes… l’enroule autour de son bassin… lâche ses poignets… glisse ses deux mains sous les fesses nues… et d’un coup de rein… la soulève pour l’empaler…

Elle ne retient pas ses cris de plaisir… oublieuse de tout autre chose que sa jouissance…

Son cœur explose d’être possédé par lui… elle s’offre à son emprise… elle se délecte de sa présence au plus profond de sa chaire…

 

Il profite du fourreau brûlant et onctueux… la soulève et la plaque contre lui de plus en plus violemment…

Elle enfonce ses ongles dans les muscles tendus de son dos… maintient le rythme par des pressions cadencées de ses jambes sur ses hanches…

Il manque l’étouffer en la serrant ardemment au moment de l’explosion de son plaisir…

 

Ils restent longtemps imbriqués… l’un dans l’autre… l’un à l’autre… l’un pour l’autre…

Quand il la dépose au sol… il caresse longuement son visage… l’embrasse avant de refermer son chemisier… de dérouler sa jupe sur ses fesses…

Il se rhabille rapidement et lui tend son manteau… amorce le même geste… mais l’attire à lui par une pression sur sa nuque…

 

- Ils se sont régalés… moins que moi… et beaucoup moins que toi…

 

Il coupe court à ses protestations en l’embrassant avec fougue…

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
Voir les 3 commentaires - Ecrire un commentaire
Mardi 30 mars 2 30 /03 /Mars 17:41

Il la pousse contre les pierres dures… écarte son chemisier… lèche de façon indécente sa poitrine palpitante… glisse une de ses mains sous sa jupe… frôle le haut de ses cuisses que les bas dénudent…

Il attrape ses poignets et maintient ses bras contre le mur au dessus de sa tête… enfouit son visage au creux de son cou et murmure…

 

- Tu es trempée !… hum…

 

Sa main, sous la jupe, s’est posée sur son sexe… il ne bouge plus…

La chaleur pénètre sa peau à travers la dentelle… lui coupe le souffle…

Le rouge de l’ivresse colore ses paupières closes… papillonne son esprit en dérive…

 

Une fraiche brise nocturne s’est levée dans l’impasse… elle aiguise la chair humide de sa poitrine exposée…

Dans sa tête explose la réalité des lieux et de la situation… fragmentée… annihilé par le plaisir de n’être plus que ce coquillage au creux de sa paume…

 

Elle s’oublie… abandonne… laisse une douce mélopée s’échapper de ses lèvres…

Elle ondule… cherche… frotte ses lèvres gonflées aux doigts étrangers…

 

- Tu aimes…

J’en ai rêvé de te tenir ainsi en mon pouvoir...

Veux-tu sentir mes doigts sur ta peau tendre ?

 

La tête lui tourne… elle gémit… augmente la pression sur la main immobile… finit par agiter la tête d’avant en arrière…

 

- Je veux l’entendre… murmure-t-il encore.

 

Elle sanglote en proie aux tourments de sa raison… ne pas dire… penser sans formuler… rester hors du réel… juste sentir… ressentir…

Mais le désir est trop fort… trop présent… trop violent…

Les éclats dans son crane s’activent trop vite… son envie la tenaille et dicte sa conduite…

Dans un souffle… un oui non articulé… une plainte audible qui se perd dans la brise…

 

Alors, sans lâcher ses poignets… il fait glisser sa culotte de dentelle le long de ses jambes…

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
Voir les 1 commentaires - Ecrire un commentaire
Lundi 29 mars 1 29 /03 /Mars 06:17

La frustration et la présence virile contre son flanc, réveillent ses appétits…

Elle glisse ses mains entre leur deux corps et déboutonne habilement sa chemise…

En un geste elle ouvre celle-ci et goûte sa peau de la sienne… le contact lui embrase le cœur et fait palpiter son entre jambes…

Il ancre ses deux mains à ses rondeurs et les pétrit à travers l’étoffe légère de sa jupe.

 

Se cambrant un peu plus, elle écarte sa poitrine et coule ses mains sur son torse… elle agace ses pointes qui durcissent aussitôt… éprouve la chaleur et la souplesse de ses muscles… fait frissonner son dos sous ses ongles…

Son bassin est si fortement appuyé au sien… qu’elle croit sentir l’émoi enfler encore dans ses pantalons…

 

Elle n’y tient plus et descend sur son ventre déboucler sa ceinture pour accéder à ce qui la tente tant…

Elle peine à atteindre son but… mais il ne s’y oppose pas…

S’écartant de lui, elle glisse une main fine dans sa chaleur tendre…

Un nouveau frisson la parcourt au plaisir de sentir la douceur de son membre au creux de sa paume…

 

Elle n’a plus qu’une obsession… le goûter… sentir sous sa langue… en sa bouche… ce sexe dressé pour elle…

Elle se laisse descendre le long de ses jambes… et les fesses posées sur ses talons… elle pose délicatement sa langue sur le bout chaud et rond…

La salive emplit sa bouche… elle arrondit ses lèvres et se laisse envahir…

 

Il pose sa large main sur sa tête… sans pression… juste pour accompagner ses mouvements tendre…

Elle joue de sa langue… de la pression de ses lèvres… l’embouche au plus profond…titille de la pointe… lèche… suce… aspire… enrobe du fourreau brûlant de sa bouche la hampe durcie…

Elle accélère ses mouvements… la main sur ses cheveux l’y engage…

 

Elle aime sentir cette pression… des sentiments violents s’agitent en elle… il est à elle… elle est à lui…

Elle sent son humidité s’échapper… l’air frais du soir qui s’insinue sous sa jupe, tente de rafraîchir son intimité bouillante… accentuant sa conscience de l’inondation de ses dentelles…

 

Il attrape soudain sa chevelure et la tire fermement vers le haut… l’obligeant à lâcher le membre dont elle se délecte…

- C’est très bon ! Délicieux même ! Mais je veux plus… lui murmure-t-il, avant de l’embrasser une fois encore…

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
Voir les 3 commentaires - Ecrire un commentaire
Vendredi 19 mars 5 19 /03 /Mars 06:19

Il garde ses lèvres soudées aux siennes mais s’éloigne légèrement… juste assez pour défaire un à un les boutons nacrés de son chemisier…

Il en écarte les pans et se détache d’elle pour admirer les rondeurs blanches et durcies qui semblent irisées à la lueur de la lune…

 

Elle a un geste de pudeur comme pour cacher ses seins offerts à l’air de la nuit…

Il attrape délicatement ses poignets…

- Tu ne saurais me les cacher après m’avoir si souvent donné soif de les découvrir ! …

Que crois-tu qu’il me soit passé par la tête tout ce mois où tu les promenais allègrement sous mon nez ?

Chaque matin je me demandais de quoi tu les habillerais pour me les rendre plus visibles, à peine voilés par tes fanfreluches…

Le pire supplice était de me pencher sur ton épaule pour t’expliquer ou vérifier ton travail… résister à la plongée dans tes décolletés… ne pas laisser ma main glisser de ton épaule vers l’échancrure pour enfin savourer la douceur de ta peau… l’arrondi plein et laiteux de ta poitrine…

Quoi que… le plus difficile était, quand même de garder l’esprit clair quand tu venais te pencher dans mon dos… sentir frotter contre moi tes petits tétons presque toujours érigés… s’écraser leur douceur ferme contre mon cou… la rondeur et l’odeur de ton bras nu devant mon visage pour me désigner d’un doigt délicieux la ligne que tu ne comprenais pas…

J’ai mérité d’en profiter un peu ! Tu ne crois pas ?

 

La rougeur qui envahit ses joues est visible même dans la faible lumière… elle baisse les yeux à la fois honteuse et heureuse de savoir le désir qu’elle a suscité en lui…

Il lâche un de ses poignets pour poser sa main en coupe sous l’un de ses seins…

Avec une infinie douceur il les caresse… d’une main… puis des deux…

Il en fait le tour… du bout des doigts… réveillant de frissons le grain de sa peau…

Il parcourt la surface tendue et duveteuse… éprouve la dureté des pointes sombres… s’empare de leur poids tendre… joue de la tension qu’il provoque…

 

Elle laisse échapper malgré ses efforts de longues plaintes étouffées…

Le plaisir de ces attouchements éclate en étoile sous ses paupières closes… se propage dans ses reins qu’elle cambre sans s’en rendre compte pour s’offrir mieux encore.

Elle a ancré ses mains aux pierres disjointes, dans l’espoir de retenir ses gémissements… de maîtriser les sons qui porteraient jusqu’à la rue…

 

Quand il attrape entre ses dents un mamelon… le courant grille jusqu’à son ventre… ses coups de langue gourmands… entaillent sa raison…

Elle sent courir sur sa peau humide le moindre souffle d’air…

 

Elle perçoit sa faim… son désir de goûter… d’apprendre les frémissements…

Elle voudrait en l’instant être un fruit aux parfums juteux qu’il puisse mordre à pleine dents… sentir sa chair en lui le nourrir et l’abreuver…

Elle voudrait en même temps sentir ses yeux la regarder… sa douceur l’envelopper… son désir d’elle la suffoquer…

 

Elle sent monter le feu… s’éparpiller ses sens… s’inonder sa fleur… s’amplifier son souffle…

C’est le moment qu’il choisit pour la serrer contre lui… écraser sa poitrine gonflée d’envie sur son torse… enfoncer ses doigts dans les rondeurs fermes de ses fesses… et imposer à son intimité l’exubérance de son désir…

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
Voir les 1 commentaires - Ecrire un commentaire
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés