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  • Lyzis et son L
  • : 10/12/2007
  • : Lire : Ici

Fantaisies imaginaires

Lundi 30 novembre 1 30 /11 /Nov 06:20

Viens, approche…

Ma petite chose… voilà, assieds-toi sur mes genoux…

Tu as la peau douce…

Tes cuisses sont … hum…

Écarte un peu tu veux !

Voilà… du coton… j’aurai été déçu qu’il en soit autrement…

Allez, lève-toi.

Bien, mets-toi face à moi…

Arrête de gigoter…

Laisse-moi retirer ta culotte…

Ne fais pas l’enfant…

Hum… très doux… mais je vais rendre ton minou tout lisse

Approche du bord de la table…

Écarte bien les jambes, que je vois ce que je fais…

Je ne voudrais pas te couper…

Hum ! Tu aimes la caresse de la mousse…

Je découvre ton sexe à chaque coup de rasoir…

Ne bouge surtout pas !

Voilà… suis moi… je vais te laver.

Tourne toi que je te savonne bien partout…

Regarde un peu tes seins ma belle… ils sont si… tendus…

Si tu n’étais pas recouverte de mousse… je prendrais tes téton entre mes lèvres… je goûterais ta peau… l’arrondi… là…

Hum ! Tu aimes ça dis-moi…

Hum ! Ton sexe… si joliment fendu… sous mes yeux autant que sous mes doigts…

Approche…

Tes fesses… rebondies sous ta cambrure…

Elles aussi fendues hum…

Tu aimes ?

Oui… Tu aimes…

Tu ne dois pas tomber dans la douche bébé…

Aller, tourne-toi que je te rince…

Arrête de bouger, je ne peux pas te sécher correctement !

Hum ! Approche baby…

Tu sens bon… tu es belle… laisse moi regarder cette chatte que tu me donnes toute nue…

Voilà, tiens-toi droite… les mains dans le dos…

Tu ne vas pas m’obliger à les attacher ?

Approche que je te sente !

Hum ! Tes parfums sont enivrants… ça ne devrait pas être permis de sentir aussi bon…

Tu réveilles mes appétits… laisse-moi te goûter.

Mais dis-moi ! Tu es trempée…

Sens comme mes doigts entrent en toi…

Assieds-toi sur mes genoux…

Voilà… confortablement…

Mais tu exagères…

Tu n’as pas honte d’ouvrir les jambes comme ça ?

Qu’est-ce que c’est que ces façons… chipie !

Tu es une sacrée coquine…

Je vais te faire passer l’envie de t’ouvrir comme ça moi… tu vas voir !

Et oui, c’est une autre façon de te retrouver sur mes genoux…

Et ne t’agite pas ainsi… je te tiens…

Hum ! La vue sur ton postérieur est divine…

Tes fesses sont si douces…

Alors… dix petites pour commencer…

Hum ! J’adore quand tu te tends comme cela vers moi…

Zut ! Je ne sais plus où j’en suis… je recommence…

Mais tu ruisselles littéralement !

C’est impressionnant…

Oui… écarte les jambes… comme ça…

Je t’adore…

Quel joli cadeau tu me fais…

Allez vas-y… jouis ma belle…

Tu reviens ?

Hum ! Tes seins n’ont pas débandé…

Et ma queue non plus…

Vas-y doucement…

Je préfère maîtriser…

Viens t’assoir sur moi…

Doucement…

Oh ! Tu es faite de miel…

Arrête de danser… ne bouge plus…

Je veux ton petit cul ma chatte…

Oui ! Oui ! Tout doucement…

Hum !

Frotte ton petit sexe tout doux sur mon ventre ma poupée…

Hum ! Comme ça…

Laisse-moi faire…

Je te défonce…

Caresse-toi… voilà… montre moi…

Tu sens ma bite ?

Je sens tes doigts ma puce…

Tu es si…

Tu jouis…

Je jouis…

 

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Lundi 26 octobre 1 26 /10 /Oct 07:50

-   Venez ! Approchez !


Elle se lève avec lenteur, mesurant chacun de ses gestes.

Elle baisse la tête, replie ses jambes et poussant sur ses bras, se redresse. Elle croise ses mains derrière le dos. Relève doucement le menton et se cambre instinctivement, sous le regard qui l’aimante.

 

Approchez ! Allez !


 

Elle baisse de nouveau les yeux sur la pointe de ses chaussures.

À pas mesurés, elle glisse vers l’homme.

Elle sait déjà qu’elle se laissera faire… elle sent déjà son corps frémir…


  -   Je vous trouve bien lente… Je n’apprécie guère de me répéter !


 

 

Son ton la pétrifie et provoque en même temps qu’un début de révolte… un frisson d’émotion… Elle voudrait tout à la fois, lever les yeux et sortir les griffes… mais aussi… lui faire plaisir et vivre ce qu’il imagine pour elle…

 

-   J’ai failli attendre ! Tournez vous !

 

Elle pivote sur elle-même, triturant toujours ses mains derrière son dos. Elle sent les siennes, grandes et chaudes, se poser sur ses épaules et descendre le long de ses bras nus… Il détache ses doigts mêlés et les ramène le long de son corps.

 

-   Cambrez-vous, levez la tête ! Soyez fière !

 

Il tire sur ses cheveux et dégageant sa nuque, il la respire… Elle sent son souffle dans son cou et son échine est parcourue d’un long frisson… De sa longue main chaude, il caresse son dos jusqu’à atteindre la cambrure où il insiste pour l’accentuer… Elle assure ses appuis pour lui donner satisfaction…

 

-  Bien ! Voilà qui est mieux. Écartez un peu plus les jambes et ne bougez plus !

 

Elle s’exécute, l’angoisse augmentant inexorablement… Sa main continue la descente, s’attardant sur ses rondeurs… Il lâche ses cheveux afin de caresser son ventre tendu… Elle se sent prise dans un étau… le centre de son corps ne lui appartient plus… La chaleur se diffuse en son intérieur qui lui semble instantanément se liquéfier…

 

-  Encore vos gémissements ! Vous êtes extrêmement bruyante !

 

Elle se mord les lèvres, tentant de réprimer les sons qu’elle ne maîtrise pas… Elle laisse le désir enfler… Ses seins lui semblent vouloir sortir de leur réceptacle de dentelle, leurs pointes sont douloureuses… ses jambes tremblent… son sexe pulse… Elle ondule…

 

-  Allez-vous cesser de bouger ? Je vais ôter votre jupe pour mieux vous voir.

 

Il desserre l’étau sur son ventre et ses fesses et entreprend de dégrafer le mince tissu qui la dissimule encore… Elle reprend ses esprits et s’efforce de ne pas penser au spectacle qu’elle va offrir… Il dénude sa poitrine et tourne autour d’elle, silencieux… Ses regards sur son corps quasi-nu l’électrisent…

 

-  Vous n’avez pas honte de vous montrer ainsi ? Vos seins arrogants, votre croupe tendue, vos jambes écartées…

 

Elle le perçoit comme un grand prédateur… tournant autour de sa proie sans défense… se délectant à l’avance de sa victoire… La tête lui tourne… le désir est si présent… Elle veut qu’il la touche… qu’il l’amène au plaisir… Elle n’ose plus imaginer ce qu’il pourrait lui faire… Tout son être est dans l’attente… Une tension douloureuse l’envahit…

 

-  Hum ! Vous sentez la femme… la femme en désir…

 

Son haleine brûlante est une caresse… Il pince ses seins, serrant peu à peu, lui arrachant un miaulement de douleur… Il frôle, englobe, soupèse sa poitrine sensible… Il épouse les courbes de ses hanches… jouant du bout des doigts puis empoignant fermement… Chaque pore de sa peau n’est plus que plaisir… son corps entier palpite, vit…

 

-  Savez-vous à quel point vous êtes désirable ?

 

Il caresse à pleines mains les rondeurs de ses fesses… effleure l’intérieur de ses cuisses… puis pose sa paume sur son pubis basculé et appuie ses doigts sur sa fente gonflée… Un feu s’embrase en l’instant… ravageant ses reins… brouillant son esprit… enflammant son cœur… agitant les papillons dans son ventre… explosant en inondant la main qui ne suffit plus à la tenir debout…

 

-  Vous tombez encore ! Quel spectacle ! Vous êtes si… expressive !

 

Il la recueille au creux de ses bras… l’enveloppe de sa chaleur… la couvre de sa veste… l’emmène pour la laisser revenir,  reprendre pied sur terre… et… lui sourire…

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Lundi 12 octobre 1 12 /10 /Oct 18:13

Depuis son retour de vacances, elle avait repris ses habitudes et sa place dans le bus qui l’emmenait au travail.

Elle n’avait pas remarqué tout de suite le nouveau passager. Mais lui, n’avait mis que trois voyages avant de prendre la place de Séverine à ses côtés -sa partenaire de transport était en Auvergne pour encore 15 jours-.

Il s’était montré de bonne compagnie, s’intéressant aux autres voyageurs, lui posant beaucoup de questions… Peu à peu, il en était venu aux confidences –se montrant modeste et drôle-, puis aux questions plus personnelles.

Il la distrayait et elle trouvait cela fort agréable. Elle se laissait séduire par son humour. Il savait entourer ses interrogations les plus intimes, d’une légèreté malicieuse et elle se surprenait à se livrer plus que de coutume.

 

Ce qui lui évita de succomber à ses charmes, fut cette discussion enflammée sur les différences entre les désirs féminins et masculins…

Il avait amené le sujet assez rapidement et la poussait à exprimer ses opinions contradictoires, quand elle se rendit compte, qu’il ne parlait qu’à ses lèvres…

Elle tentait désespérément de capter son regard - le sujet lui semblant polémique - mais ses yeux ne fixaient que sa bouche…

Elle agitait les mains –comme toujours quand elle défendait un point de vu- il ne les regardait même pas…

Il semblait hypnotisé par le mouvement de ses lèvres…

Elle finit par se taire. Il ne la regarda pas plus dans les yeux pour lui poser d’autres questions.

Le désir qu’il avait de sa bouche, lui paru soudain si évident, qu’elle se senti mal à l’aise… Il la dévorait littéralement des yeux, il buvait ses mots comme on salive à l’avance devant un dessert interdit…

 

Les jours suivants, elle se fit plus distante, moins loquace, observant son manège…

Il ne sembla pas s’en apercevoir et poursuivi avec assiduité son numéro de charme, tout en maîtrisant de moins en moins son obsession pour la bouche pleine et peinte de son interlocutrice.

Il fini tout de même par lui demander ce qui la rendait triste.

Elle commença par affirmer qu’elle allait très bien, qu’elle n’était pas triste du tout.

Mais son regard  de convoitise et la façon dont il se mordit la lèvre inférieure dès qu’elle ouvrit la bouche lui ôtèrent toute réserve. Elle déversa alors sur lui son dégout, l’affubla de sa rancœur, le repoussa hors de son monde et lui tourna définitivement le dos.

Il ne réagit pas, stupéfait sans doute d’une réaction aussi violente. Les autres voyageurs l’entouraient d’un silence déconcerté.

 

Il ne reprit jamais le bus…

Elle y repense souvent, se demandant ce qu’il pouvait imaginer en regardant ses lèvres, qu’aucun de ses amants n’avaient jamais dévorées aussi intensément des yeux…

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Samedi 18 avril 6 18 /04 /Avr 13:58

« Viens, suis moi. » Il l’entraine à sa suite dans la chambre.

« Allonge-toi sur le dos s’il te plait. Remonte tes mains au dessus de ta tête.»

Avec beaucoup de douceur et d’application, il lui lie les mains avec une corde fixée à un pied du lit…

Confiante, elle le laisse œuvrer, retenant son imagination pour mieux ressentir la sensualité des cordes…

 

Une fois qu’elle est bien arrimée, il lui clôt les yeux sous un foulard noir qu’il sert assez fort…

Elle s’agite un peu pour éprouver et les liens et l’efficacité du bandeau.

« Maintenant, tu es ma prisonnière ! »

Sa voix est à la fois…  murmurée… conquérante… implacable… rieuse…

Elle se sent frémir, partagée entre le rire et l’inquiétude…

 

Il dégrafe avec lenteur les boutons de la robe… écarte les pans d’un coup sec…

Elle éprouve encore des sentiments duels… plaisir d’être exposer à ses regards… inquiétude de ne pouvoir y échapper…

 

Il attrape sa petite culotte et la fait glisser très lentement… découvrant son intimité avec délectation… comme s’il la voyait pour la première fois…

Par instinct, elle serre les jambes… refusant de lui rendre la tâche facile… Elle ne sera pas une captive conquise d’avance…

 

Avec fermeté, il fini par lui enlever le petit bout de tissu. Il lui ôte son balconnet avec beaucoup plus de rapidité, utilisant les bretelles détachables pour le lui arracher d’un geste.

Elle ne peut s’empêcher de tendre son buste, faisant jaillir ses seins déjà excités… Elle a une conscience aigue de l’audace de ses deux pointes tendues vers lui… Mais c’est plus fort qu’elle…

 

Il quitte le lit et prend du recul pour la contempler… son corps offert à ses regards… ses jambes gainées de noir, tendues et serrées… le triangle sombre et bombé au croisement de ses cuisses à la peau claire… son ventre doux, tendu… ses seins aux pointes colorées… la robe indécemment étalée autour d’elle… le visage en éveil à demi caché par la soie… les dents blanches qui mordillent la lèvre inférieure… les cheveux en auréole floue… ses bras tenduent et sans liberté…

Elle ne bouge pas… suspendue dans l’attente… entre désir de sentir son regard et inquiétude sur ses intentions…

 

Les minutes s’écoulent dans un silence religieux… elle tente de sentir sa présence sans le moindre indice pour la guider…

L’agitation la gagne… l’inquiétude prend le pas… l’affolement pointe…

Où est-il ? Que fait-il ?

Aucun son… aucune image… et ses mouvements limités deviennent instinctifs…

Elle plie puis détend ses jambes… les écartent pour sonder l’espace autour d’elle…

Elle se cabre… se cambre … tirant sur ses liens…

 

Sa main chaude et pesante se pose soudain sur son mont sensible…

Elle serre les jambes… fort… emprisonnant le bout des doigts…

Il bouge lentement… tenant à pleine main cette chair chaude… malaxe… pétrit… insinue son majeur jusqu’à la perle délicate…

Elle s’ouvre… s’écarte pour se lancer au contact… Elle bande ses muscles pour que la caresse se précise…

 

Elle ne pense plus… plus à rien d’autre qu’au plaisir qu’il lui donne… plus à rien d’autre qu’au sentiment de n’être que ce sexe entre ses mains…

Il plonge dans son miel tendre, ses doigts conquérants… il voit son corps s’ouvrir pour lui… sous sa volonté… il cherche son plaisir… il veut voir et sentir la corde se tendre et sa jouissance exploser au creux de sa main…

 

Elle s’arque… inonde… enfle…

Son esprit se noie… s’aveugle… s’éparpille…

De son ventre, le feu irradie… s’écoule… se déverse…

Elle oublie de respirer… se mord la lèvre au sang… la tête rejetée en arrière…

Il se délecte de voir son orgasme monter… les spasmes qui l’agitent… son indécence excitante…

Elle inspire brutalement et crie… crie son plaisir… la folie de l’instant… le délire qui la dévaste…

 

Lâchant son sexe, il la retourne et lui susurre en se penchant jusqu’à enfouir son nez dans ses cheveux : « Tu n’as pas honte ? »

Dans un sursaut de compréhension, elle resserre les jambes…

-Tu peux serrer les jambes maintenant… c’est un peu tard… tu ne crois pas ?

Elle secoue la tête… refusant de l’écouter…

-Tu offre ton sexe… comme ça… à la première main qui se présente ! Dois-je te rappeler que tu es prisonnière ? Tu la mérites ! Tu ne peux pas dire le contraire… !

Pour toute réponse… elle enfouit son visage dans l’oreiller en gémissant… et plie légèrement les genoux… ce qui immanquablement redresse sa croupe…

 

Il tire sur la robe, la remonte le long de ses bras et termine en la bouchonnant autour de ses poignets déjà prisonniers…

-Voilà, tu veux te montrer et bien ainsi exposée tu ne me caches plus rien… et… tu te cambres en plus… mais décidemment… tu n’es qu’une catin… si c’est pas une honte de voir un cul pareil se dresser ainsi !

Elle sent le rouge inonder ses joues… un mélange de honte et de jubilation la gagne… Elle ne peut s’empêcher de se tortiller…

 

-Bon, cette fois ça suffit… je vais te montrer ce que l’on fait aux captives impudentes Moi !

Il la pousse, la tire, s’installe sous son ventre.

Ses bras sont tendus dans les liens, ses jambes battent l’air au bord du lit, son corps repose sur les genoux de son bourreau, ses fesses nues lui semblent s’étaler sous ses yeux…

 

Elle serre les cuisses autant qu’elle le peut… pour se protéger… pour montrer sa réticence… sa pudeur… pour cacher l’humidité qu’elle soupçonne visible… le désir quelle ne sait refouler…

Il pose sa main droite, large et chaude sur les rondeurs… ne bouge plus pendant un long moment…

De sa main gauche il caresse la nuque… la dégage de quelques mèches folles… suit du majeur la colonne… agace les muscles des omoplates saillants sous la tension des cordes… puis s’arête sur les reins… au creux… à la cambrure… et y exerce une pression… comme pour accentuer la proéminence du fessier qui s’offre à lui…

 

Et soudain, sans un mot, il abat sa main droite en une claque sonnante…

Le ballet commence doucement… en cadence régulière… une fesse après l’autre…

Il s’applique à toujours faire à l’une ce qu’il a fait à l’autre… la couleur rose qui colore peu à peu les deux globes charnus doit être uniforme… régulière…

Il évite le centre… n’effleurant même pas du bout des doigts l’abricot gonflé qu’elle ne peut cacher…

 

Il la sent se détendre… apprécier la chaleur qui envahit ses reins… de plus en plus sereine…

Alors soudain, il accélère… désynchronise… augmente la volée et le volume…

-Ce n’est pas une caresse que tu as mérité… mais une bonne fessée… et tu vas avoir ce que tu cherchais…

Elle se contorsionne… cherche à s’échapper… gémit…

 

Il ne faiblit pas… applique avec sérieux le châtiment…

-Je dois t’apprendre à mieux te comporter… à ne pas céder aux moindres de tes désirs… à rester décente…  Comment pourrais-je jamais abuser de toi si tu te comportes ainsi ?

Il ponctue ses mots de frappés cadencés…

Alors elle crie… elle pleure… et ses jambes battent l’air en tous sens… plus de pudeur… plus de réserve… elle se laisse aller… sa tête explose de milles chandelles… elle n’est plus que chair entre ses mains… elle savoure sa honte d’aimer cela… enfin petite fille jusqu’au bout…

 

Il cesse… enfin… la caresse tout doucement… frôle du bout des doigts les courbes cramoisies… jusqu’à atteindre le puits de miel… avec beaucoup de délicatesse, il s’insinue en elle… goûtant le moelleux de son intimité…

 

Il la rassemble… la replie sur elle-même… la love… la ramène sur le lit…

Elle est ailleurs… envoutée… sur un nuage de volupté… tout contact la frémit… tout mouvement la rend plus consciente de son corps…

 

Il l’installe pour son plaisir… sans précipitation… calmement… caresse les seins de son souffle… écarte et replie ses jambes pour accéder des yeux et de son propre corps au centre de cette femme qu’il possède…

Elle est plus consciente que jamais de son indécence… de s’offrir à lui avec délectation…

La lucidité avec laquelle elle perçoit le désir de son homme lui fait tourner la tête…

 

Et de l’instant précis où il touche son sexe… jusqu’à l’explosion de son plaisir en elle… elle n’atterrit pas… des nuées de papillons envahissent son être… la lave s’écoule hors d’elle… les étoiles brûlent dans sa tête… son cœur fond pour lui…

 

C’est bien longtemps après qu’il l’eu détachée, prise dans ses bras et bercée… qu’elle réalisa enfin que la tempête était apaisée et que seul son amour de lui battait encore si fort dans sa poitrine…

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Samedi 4 avril 6 04 /04 /Avr 08:17

 

Voici une pinup qui aurait pu alimenter l'imaginaire du Monsieur  !!!


Image trouvée sur 1000 Pinups des années 1950

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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