En se retournant vers lui, elle aperçoit le désir briller dans ses yeux… cela lui donne de l’assurance…
Elle met alors ses mains sur les hanches, se redresse encore, projetant ses seins tendus.
Ses joues sont en feu… sa tête haute… un sourire délicieux laisse apparaitre ses dent blanches…
Sa démarche lente et mesurée la ramène fatalement à l’homme toujours à genou…
Lorsqu’elle n’est plus qu’à quelques centimètres, il lui fait signe d’avancer encore…
Elle ne peut qu’écarter les jambes, et placer un pied de chaque coté de ses genoux…
Son sexe semble pulser à travers le tissu léger…
Il a les yeux si proches qu’il lui semble voir au travers de l’étoffe, le miel qui embaume…
Cette fois ci, il ne résiste pas et laisse son instinct le guider, prendre les rênes…
Il glisse ses mains des chevilles fines jusqu’à la lisière de la culotte blanche… et d’un geste dégage les lèvres gonflées…
Se redressant à peine, il plonge sa langue dans la fente parfumée…
Elle semble s’ouvrir pour lui…
Elle plie involontairement les genoux, offrant mieux encore sa corolle aux caresses humides… un mouvement instinctif de son bassin accentue le va et vient…
Il la sent couler doucement… s’offrir… chercher plus…
Alors, n’y tenant plus, il se lève, la bascule en avant sur le dossier du fauteuil, lui arrache d’un mouvement sa culotte et prend possession de son cul, mordant à pleine dent les rondeurs magistrales…
Il ne met pas longtemps à sortir son sexe bandé… douloureux… si longtemps opprimé…
Et sans plus de cérémonie, il s’enfonce en elle avec soulagement…
Après quelques coups de boutoirs rageurs… il se calme et prend la mesure du délice qu’il s’offre… qu’elle lui offre…
Il reprend son calme juste le temps d’apprécier la douceur du berceau qui l’accueil… la chaleur qui l’enveloppe… le parfum épicé qu’il provoque… le baiser humide qu’il subit…
Il emplit ses yeux de l’érotisme de cette croupe tendue… des ces jambes fermes perchées sur leurs talons… de ce dos creusé par le désir…
La folie des gémissements… des arcs boutant contre son propre corps pour plus de profondeur encore… le gagne… le rythme s’accélère… les mouvements se déchainent…
Il la possède… elle s’emplit… il la pénètre… elle l’absorbe… ils crient ensemble leur libération… le transfert de leurs désirs… l’inconscience de leurs plaisirs…
Ce jour là, le magasin de chaussure, à fermé ses portes à midi et n’a pas ré ouvert de toute l’après midi… et tout ça… pour une paire de sandales à talons hauts…
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