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Présentation

  • Lyzis et son L
  • : 10/12/2007
  • : Lire : Ici
Vendredi 21 décembre 5 21 /12 /Déc 17:00

Je  suis faite aussi de cela… je-suis-aussi-faite.jpg

Je ne peux me défaire de mon enveloppe de petite fille sage et bien élevée… elle a été tissée pour moi depuis mon plus jeune âge…

Mais chaque jeu libère un peu plus ce qui fait ma chair… et quand se mêlent peau et sang… le mélange est détonnant.

Mes résistances sont si faibles, qu’elles révoltent ma conscience… Mes envies sont si fortes, qu’elles emportent mes barrières…

Un regard de toi me libère et tu m’apprends qui je suis sans le savoir.

Je suis parfois prise de vertiges quand s’ouvre l’abîme de mes possibles inconnus… Je m’accroche à toi, tu es mon arbre, celui qui me rattache à la terre… tu es ma réalité, celui qui garde mes limites… tu es mon protecteur, celui qui couve, couvre et entoure, celui qui calme et rassure… Mais tu es aussi mon déclencheur, celui qui sait les boutons, les ressorts… celui qui m’entraine et me pousse… celui qui me fait grandir, m’arrose et m’embellie… celui qui me possède… le seul à qui je veux appartenir…

Par Lyzis - Publié dans : Elle
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Jeudi 20 décembre 4 20 /12 /Déc 17:00


Peu à peu, le sang refroidit dans ses veines…les connections de ses neurones reprirent un débit s’approchant de la normale.

Elle pu ouvrir les yeux, mais attendit un peu, le temps de se rassurer, avant de plonger dans ses yeux perdus.

Il s’était laissé attendrir par la douceur et la confiance que renvoyait son abandon… Et elle avait surpris cet instant…

 

Il secoua vivement la tête, se leva d’un bon et enleva son pantalon…

Les yeux, cette fois-ci bien ouverts, elle prononça clairement : «  Que vous avez une grande verge ! ». Son visage ébahi témoignait de son réel étonnement.

A ces mots, le loup ne se senti plus de joie… Son ego, flatté au plus haut point, il se sentait gonflé d’orgueil. Le regard du petit chaperon rouge, lui renvoyait de lui-même une glorieuse image… Il allait lui montrer qu’il méritait son admiration…

 

-C’est pour mieux te combler mon enfant. Dit-il en passant une main sous sa nuque.

 

Il affermit sa prise, emprisonnant ses cheveux et présenta son gland douloureux de désir aux portes closes de ses lèvres.

Avec une extrême lenteur, elle sorti sa petite langue rose et commença à lécher, effleurer la peau douce. Elle descendait le long de sa tige dure, couvrant de baisers légers et dégustant la chair tendre. Puis, devenant plus hardie, elle emboucha le bout et se mit à sucer avec un plaisir si évident, que le loup en resta interdit...

La fraîcheur de sa langue agile, combinée à la fournaise de sa gorge le rendait fou…

-Quelle suceuse !!! Tu es « ma » petite suceuse ! Lui cria-t-il, sentant son sexe enfler en elle.

 

Il imposa peu à peu son rythme, la retenant par les cheveux et projetant lui-même son bassin vers elle. Il voyait disparaître entre ses lèvres rouges sa virilité presque entière… Elle jouait des dents, de la langue et aspirait en elle de plus en plus goulûment sa hampe. Il n’y tint plus et s’arracha au délice d’un coup de rein.

 

Tandis quelle se léchait les lèvres encore ivre du plaisir de le sentir en elle, il monta sur le lit.

Prenant ses cuisses à pleine main, il les écarta d’un geste impatient et présentant son sexe au centre de sa fleur, il la pénétra d’un seul coup de bassin, entrant entièrement en elle d’un seul mouvement.

Elle ne pu retenir un cri où se mêlait surprise, douleur et délice.

Il se retira alors très doucement, centimètres par centimètres… elle sentait son ventre se détendre, son fruit gonflé de jus s’ouvrir et fondre sous son emprise.

Il lâcha ses cuisses, et attrapant sa taille, il entama un ample et régulier va et vient… Il entrait profond en elle. Il la quittait presque pour l’envahir de nouveau.

Elle se sentait écartelée, emplie de lui. Elle voulait le sentir, le savoir en elle. Elle tendait ses hanches vers lui, l’aidant à s’introduire plus loin encore…

Il voyait, il sentait son corps s’introduire en elle. Il la possédait. Il ressentait  les tensions de sa chair tendre.

Elle venait à lui, elle s’offrait en cherchant son plaisir.

Un sentiment puissant l’inondait… Il sentait son sexe durcir encore, se tendre à en devenir douloureux… Il voulait plus… Il la voulait encore plus…

 

Il quitta difficilement sa grotte humide.

Il se laissa tomber de toute la longueur de son corps sur la fille.

-Tu me mets au supplice…lui glissa-t-il à l’oreille avant de l’embrasser.

-C’est vous qui me torturez.Lui répondit-elle.

-Je ne peux résister à l’envie de t’avoir toute à moi… je veux prendre ce que personne n’a jamais eu… tu m’as offert ce que tu avais déjà donné. Je veux que tu me donnes ce que tu n’as jamais offert.

Il prit sa bouche un fois encore. Ses lèvres soudées aux sienne, il caressait de sa langue celle du petit chaperon rouge.

Cela augmentait encore sa confusion. Elle ne savait plus où elle était, perdue dans ses ressentis… elle ne cherchait pas à comprendre ce qu’il voulait dire… elle était prête à lui montrer tous ce qu’il demandait, n’imaginant pas encore ce qu’il pourrait bien désirer de plus…

Il oppressait son corps sous le sien, étouffait son souffle de sa bouche, envahissait sa peau de sa moiteur enivrante, s’emparait de l’air qu’elle respirait, le lui rendant chargé de ses odeurs de désir… et elle se laissait emporter, elle voyageait hors d’elle, elle n’existait plus que par ses soifs et ses appétits, les craintes changées en plaisirs.

 

-Je veux que tu m’offres ton petit cul ma jolie…

Il bâillonna aussitôt sa bouche de la sienne, étouffant le non affolé que seuls ses yeux écarquillés purent crier…

Il la sentait se contorsionner soudain sous lui… Cela l’excitait au plus haut point… Il avait trouvé le point sensible, le vrai « non ». Il allait enfin la posséder vraiment, lui imposer le plaisir.

Un affolement terrifiant l’assaillait, elle ne voulait pas, elle ne voudrait jamais. Une nouvelle fois, la peur s’immisçait dans ses veines, la chargeait de tension, lui brûlait l’esprit. Elle ne pouvait se retenir de se débattre, s’arracher à l’emprise de ce corps, de ces liens… Elle était consciente de l’inutilité de son entreprise, mais son instinct était le plus fort.

 

Il se releva d’un bloc et l’attrapant par les hanches, il la retourna sur le ventre sans aucun effort.

Elle se mit à gigoter de plus belle, offrant involontairement son cul, bien plus qu’elle ne le soustrayait aux yeux du loup.

Celui-ci, s’amusa un moment du spectacle de sa croupe dansante.

 

Cependant, comme elle ne semblait pas vouloir se calmer, il bloqua d’une main de fer ses chevilles à un moment où elle avait plié ses deux jambes sous son ventre, et mordit à pleines dents une de ses fesses rondes.

De douleur et de surprise, elle cessa immédiatement de bouger et de crier, sentant des larmes saturer instantanément ses yeux.

Elle se mit à pleurer, prononçant alors, entre deux gémissements, de faibles non suppliants…

 

Il desserra rapidement la mâchoire, ne désirant pas la blesser, mais juste la maîtriser, la soumettre à son désir en lui faisant accepter le plaisir qu’elle y trouverait immanquablement.

Il voulait transformer ses frayeurs en orgasmes foudroyants. Il voulait apaiser sa soif, ses appétits, en la comblant malgré elle, en faisant tomber ses barrières, ses défenses, en la poussant à s’abandonner à lui totalement…

 

Alors que son petit corps tremblait d’une panique intense, il entreprit son pétale sombre. De sa langue, il caressait consciencieusement le petit cercle clos…

La sentant immobile, il lâcha ses chevilles et posant ses deux  mains sur ses rondeurs, il entreprit de savantes caresses, amenant peu à peu ses chairs vierges à s’ouvrir.

 

Bien que crispée par la peur mêlée de sa violence autant que de son désir, elle sentait son corps répondre aux caresses… Elle éprouvait des sentiments contradictoires : angoisse, tension, honte, désir, envie, confiance.

Il l’entreprenait de si habile manière, qu’elle sentait ses défenses tomber. Elle tendait même de plus en plus ses reins vers lui, tentant inconsciemment de faciliter ses pénétrations…

 

Lorsqu’il estima qu’elle était prête, il présenta sa verge dressée, à l’entrée offerte de ses reins.

Et avec beaucoup de lenteur, mais sans aucune hésitation, sans lui laisser la moindre échappatoire, inexorablement, il entra en elle…

Elle ressenti une brûlure insupportable la laminer… elle ne pouvait retenir ses larmes et ses gémissements… sachant qu’il serait vain, voir douloureux de tenter de se soustraire à cette colonne de chair incandescente qui la pourfendait, elle retenait son corps.

 

Quand il sentit ses cuisses contre les siennes, ses hanches contre ses fesses, il lui caressa le dos, lui murmurant que tout irait bien, que le plus difficile était fait et qu’il lui fallait maintenant se laisser aller, ressentir et accepter le plaisir…

Ses mains sur son corps, sa voix qui calmait ses peurs, tout cela concourait à calmer en elle la douleur…

 

Il entama en elle un va et vient lent et mesuré… en profitant pour ressentir ses anneaux se contracter puis se relâcher autour de son membre… La sensation d’être totalement en elle, de jouer de sa fragilité, de se nourrir de son corps offert devenait de plus en plus violente… D’autant qu’elle commençait à se mouvoir sous ses impulsions… Elle ouvrait peu à peu son antre secret et ses gémissements changeaient de tonalité imperceptiblement…

 

Il accéléra ses mouvements, joignant ses râles aux cris du petit chaperon rouge, qui sentait monter le long de sa colonne vertébrale un feu violent qui s’intensifiait à chaque nouvelle pénétration…

Elle n’était plus que chair offerte, possédée… Elle ne ressentait plus que le centre de son corps emporté par des vagues d’étincelles. Son esprit était parti loin très loin. Elle n’était que sens exacerbés sans plus de raison…

 

C’est ce moment que choisi la mère grand, attirée par les bruits, pour entrer et sans attendre, se mettre à partager leurs jeux.

 

Quand au chasseur, qui cherchait -comme tout le monde le sait- le loup depuis bien longtemps ; il ne pouvait rêver mieux que de retrouver celui-ci dans une situation pareille.

Il allait enfin pouvoir ouvrir par le cul ce loup tant convoité… le pourfendre de sa dague de chair, comme il l’avait fantasmé.

 

FIN

 

Je ne conterai pas plus avant leur histoire, certaines scènes pouvant choquer le public concerné par ce conte.

Sachez cependant, qu’ils vécurent tous heureux, même le loup.

Et oui, même le loup. C’est mieux comme ça. Non ?

Je suis certaine que vous préférez mon histoire. Elle au moins se finie bien…

Et bien dites le !-)))

 

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 17:00

Début : Le petit chaperon rouge


 

Le loup était sûr de lui. Il n’était pas né de la dernière pluie et connaissait les pièges qui lui seraient tendus…

Il parti donc tranquillement vers le logis de « la mère grand ».

 

Celle-ci était loin d’être une grand-mère. Elle possédait une jolie petite maison, légèrement isolée, où elle recevait à toute heure. Aussi, quand le loup se présenta à sa porte, elle ne prit pas garde et le laissa entrer sans méfiance.

 

Celui-ci s’approchant de la peu farouche hôtesse, pris rapidement la décision de calmer sa faim en la dégustant rapidement.

L’entraînant promptement sur le lit, il la butina tant et si bien qu’elle partie en une extase fort bruyante… Pour le remercier de s’être si bien occupé d’elle, elle lui proposa de lui rendre la pareil et de le manger à son tour… Mais il refusa préférant réserver ses ardeurs à la chair tendre qui ne manquerait pas d’apparaître bientôt.

C’est donc sans résistance aucune, que « la mère-grand » laissa le loup seul en sa demeure tandis qu’elle s’allait vaquer à d’autres occupations.

 

 

Quand le petit chaperon rouge arriva enfin devant la maisonnette, le loup était déjà dans la place depuis un bon moment. Il y avait pris ses aises, connaissant suffisamment les lieux.

Elle frappa timidement, connaissant elle-même cet endroit depuis peu.

« Tire la bobinette et la chevillette Cherra » entendit-elle crier à travers la porte.

Sans hésiter plus avant, elle pénétra dans la maison. Le loup l’attendait impatient dans l’ombre.

-Mets- toi à l’aise. Lui proposa-t-il aussitôt la porte close.

La voix profonde du loup l’a fit sursauter. Il s’avançait vers elle les mains tendues.

-Que vous avez de grandes mains ! s’étonna-t-elle…

-C’est pour mieux te déshabiller mon enfant. L’entendit-elle répondre.

Et joignant le geste à la parole, il s’activa si vite autour d’elle, qu’elle se retrouva en petite culotte en moins de temps qu’il ne lui en avait fallu pour l’entendre…

-Tu es une tricheuse !lui susurra-t-il, ironique et pervers…

-Mais …

-Tu as perdu ton défi…un large sourire éclairait ses yeux sombres…

-Je ne pouvais rester la journée entière ainsi ! murmura-t-elle d’une petite voix inquiète…

-Je vais être obligé de te donner un gage… ou une punition…

Le ton mielleux du loup, son arrogance soudaine et sa stature au dessus d’elle… faisaient naître en son coeur une terreur sourde… Et si c’était vrai… si désobéir finissait toujours mal ! Si maman avait raison ! Si…

 

Lorsqu’il posa ses fortes mains sur ses hanches pour lui arracher violemment le mince tissu qui lui restait, elle se mit à trembler d’affolement… La maintenant à bout de bras, il la regardait patiemment, attendant le retour au calme en se rinçant l’œil…

 

Quand elle se décida à relever les yeux pour comprendre ce que ce calme précédait, elle vit son regard d’envie posé sur elle et une douce chaleur envahie son corps, prenant sa source à l’endroit même où les mains la touchaient. Elle ne pu s’empêcher de lui sourire timidement et lui dit de sa petite voix : -Que vous avez de grands bras !

-C’est pour mieux t’emporter mon enfant.

Et sans peine aucune, il l’enleva de terre, serrant son petit corps encore frissonnant contre lui. Elle ne retint pas son envie et laissa sa tête aller contre le torse nu du loup.

 

En trois pas celui-ci l’emmena dans la chambre où avec délicatesse, il la déposa sur le grand lit en fer.

Elle ouvrait de grands yeux, aussi étonnés qu’apeurés. Posant instinctivement ses petites mains sur sa poitrine et son intimité.

-Que vous avez de grands yeux ! lui dit-elle soudain…

-C’est pour mieux te voir mon enfant… Alors ôte tes mains que je te regarde…

Elle se sentie aussitôt rougir de honte et prenant un air boudeur, elle arrima ses menottes où elle les avait placées.

 

Le loup sans un mot sorti un lacet de cuir de la poche de son pantalon et avec des gestes sûrs,  fermes et puissant, il lui lia de force les deux mains ensemble au dessus de la tête. Elle commença à se tortiller pour ramener ses bras sur son corps. Alors, toujours sans parole, il attacha le tout à un barreau du lit.

Ainsi couchée, à plat dos sur ce lit, nue sous ces yeux inquisiteurs, elle commençait à s’affoler de nouveau…

 

Le loup s’assis près d’elle et lentement, posa ses mains sur la peau tendre… l’épiderme se crispa sous ses doigts… d’un mouvement léger, il palpa et chercha à détendre les muscles qu’il sentait frémir.

Peu à peu, il perçu un changement… la peau chaude devenait souple sous ses caresses et les frémissements plus aléatoires… il la sentait se calmer, se laisser ressentir…

Il afficha un  grand sourire en se tournant vers son visage…

-Que vous avez une grande bouche ! murmura-t-elle, les yeux brumeux plantés au fond des siens.

-C’est pour mieux t’embrasser mon enfant. Murmura-t-il lui aussi d’une voix grave et voilée…

 

Sa bouche pleine, aussi appétissante qu’un fruit mur et juteux, le séduisait comme s’il n’avait pas mangé depuis des lunes… Irrésistiblement, il était attiré vers ses lèvres…

C’est avec beaucoup de douceur, qu’il y déposa les siennes pour un baiser goulu. Elle sentait la douceur de la bouche sur la sienne, et désirait que cela ne s’arrête plus… Elle ne pouvait empêcher ses lèvres de rendre la pression qu’elles recevaient.

Soudain, d’une poussée ferme, il pénétra la barrière de ses lèvres serrées et envahit sa bouche. La fraîche langue de cette fille excitait ses appétits. Il se mit à jouer avec elle un ballet de caresses qui enflammait leurs palais.

 

Puis, quittant ses lèvres, il descendit, de baisers en effleurements légers, le long de son cou. Embrassant, goûtant du bout de la langue, la peau fine de son col, les rondeurs de sa poitrine, la fermeté des petits bouts érectiles, la tendresse de son ventre plat. Humant la délicieuse odeur de fruit montant de ses cuisses tendues.

 

Il approcha lentement le bout de sa langue de son petit bouton… Le frôlant à peine pour commencer…

Elle ne pu retenir la vague brûlante qui montait dans son ventre… Elle se senti partir inexorablement sous la sensation intense qu’il provoquait par sa façon de la goûter…

Il attendit patiemment qu’elle revienne… La respirant profondément. Emplissant son cerveau de ses parfums…

 

Lorsqu’elle se détendit de nouveau entre ses mains, il reprit la course sur son clitoris enflammé. Il se fit plus inquisiteur en attaquant de façon plus incisive son fruit gonflé de désir.

 

Irrésistiblement, elle sentait ses jambes s’écarter. Il percevait lui aussi le mouvement lent de ses cuisses qui s’ouvraient pour lui.

La contrainte ne suffisait pas à contenir ses envies. Elle ne contrôlait plus. Elle voulait plus. Elle voulait sentir sa faim d’elle. Elle voulait qu’il la dévore, la prenne, la fasse sienne.

 

Avec audace, ses lèvres épousant les siennes, il investi de sa langue le calice fruité de la fille.

De son excitation son miel avait pris un goût de fruit sucré… il s’en imprégnait avec délectation.

 

Passant avec gourmandise sa langue sur ses lèvres, il leva la tête pour la regarder. Il ne pu retenir un sourire de satisfaction, dévoilant sa dentition carnassière, en découvrant le petit visage perdu dans une béatitude trouble…

 

Plantant une fois de plus ses grands yeux dans les siens,  elle dit d’une voix rauque trahissant son émoi : -Que vous avez de grandes dents !

-C’est pour mieux te manger ! lui répond-il dans un éclat de rire.

 

Plongeant sur son cou fragile, il y planta les dents, à la limite de la blesser.

Elle se crispa sous la peur de la douleur… Son corps entier se raidit sous la surprise.

Il lécha avidement les traces rosées de ses canines sur la peau tendre.

Il posa ensuite ses lèvres à la pointe de ses seins et mordilla très doucement les tétons.

Elle était au supplice. Partagée entre une peur panique qu’il lui fasse du mal et un plaisir intense qu’elle ne voulait pas voir s’échapper…

Mordant sans vraiment mordre, il descendait sur son corps et approchait de la fontaine…

Une panique indicible  s’emparait d’elle. Une peur grandissante tétanisait ses muscles. Ses cuisses qui s’ouvraient d’elles même quelques instants auparavant, étaient verrouillées aussi étroitement que possible.

Elle aurait voulu pouvoir soustraire son intimité aux dents toutes puissantes. Elle se sentait soudain si vulnérable…

 

Lorsqu’il posa ses dents avec délicatesse sur son sexe, c’est une décharge électrique qui traversa son échine. Il ne bougeait pas, ses canines effleurant la peau sensible. Imperceptiblement, il avança la langue entre ses dents et pénétra à l’intérieur de la fleur trempée…

 

Elle perdit tout à coup pied… son plaisir la submergeait une fois de plus, emportant sa raison et sa peur dans un délire où ses cris eux même n’avaient plus de retenue…

Il senti son corps réagir avant même qu’elle ne sembla en être consciente. Retenant la pression de sa mâchoire sur ses lèvres gonflées, il continua ses caresses.

Puis, prenant garde de cacher ses crocs sous ses lèvres gourmandes, il se releva pour la regarder.

Son corps était secoué de spasmes. Elle était tendue comme un arc, entre ses poignets liés et ses jambes serrées.

Elle ressemblait à une liane ferme, aux courbes dures, aux nerfs à fleurs de peau. Une chair douce et pleine cachant la force de ses émois, la puissance de ses jouissances.

 

Il posa la tête sur son ventre, une main caressant son visage et attendit tranquillement l’accalmie.

Elle se laissait bercer par la houle qui la faisait tanguer, ne pensant plus, ne voyant plus, ne sentant plus qu’une plénitude cotonneuse…

 

Fin : Le petit chaperon rouge Fin.

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Mardi 18 décembre 2 18 /12 /Déc 21:44

J 'ai écrit ce texte le Jeudi 25 octobre 2007... Mais j'aurais tout aussi bien pu l'écrire aujourd'hui...

 

Aujourd’hui, froid, froid, froid…

Mes bas de laine blancs ne suffisent pas à me tenir chaud…

Ce soir Body-Karaté… je vais me défouler… Pourvu que l’on tape, frappe… coups de poing, coups de pieds, les Paos donnent chaud…

Et pour terminer, tomates farcies avec amour par mon chéri… quelle jolie journée que celle-ci…

Surtout quand j’imagine la suite qu’elle annonce… douce douche… parfum vanille brûlante… empreintes rougeoyantes… pincements caressants… caresses pétrissantes… appétissante peau… chaleur envahissante… couleur tomate…

Plénitude atteinte avant le sommeil… quelle jolie nuit que celle-ci…

Par Lyzis et son L - Publié dans : Petits mots
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Mardi 18 décembre 2 18 /12 /Déc 17:00

     chaperon-photo-copie.jpg

       Il était une fois, une fille fort avenante et tout à fait charmante. Elle aimait particulièrement le rouge et comme elle en portait chaque jour, tout le monde la surnommait : le petit chaperon rouge.

Elle croisait régulièrement sur le chemin de l’école, un loup magnifique à l’allure nonchalante.

Ses parents l’avaient mise en garde contre ce genre d’individu, lui affirmant qu’il y avait maints dangers à les approcher.

Cependant, notre petit chaperon rouge, d’une nature naïve et peu méfiante, n’écoutait que d’une oreille les recommandations parentales.

 

Arriva donc le jour où, le loup, adossé dans une pose assurée contre un arbre bordant le chemin, s’adressa à notre héroïne un grand sourire charmeur aux lèvres.

-Bonjour petit chaperon rouge. Lui dit-il d’une voix chaude et profonde.

-Bonjour. Répondit-elle arrêtant sa course en plein élan, stupéfaite qu’il s’adresse à elle.

-Tu es bien jolie ce matin ! Cette jupette rouge te va à ravir.

-Merci ! dit-elle avec un immense sourire, révélant innocemment son plaisir d’être regardée…

-Tourne un peu, voir comme elle virevolte sur tes jolies jambes !

Ravie des compliments qu’il lui faisait et ne se méfiant nullement, elle s’exécuta de bonne grâce ; ne remarquant même pas les yeux du loup qui s’étaient allumés d’une lueur lubrique.

 

Lorsqu’elle arrêta ses pirouettes, elle avait la tête qui tournait un peu et les joues roses de gaieté.

Le loup la trouva l’espace d’un instant charmante et attendrissante. Mais il ne se laissa pas détourner bien longtemps de son but.

-Tu voudrais bien me faire plaisir ? demanda-t-il d’une voix rauque qu’elle interpréta comme une marque de timidité…

-Bien sur !

-Je voudrais que tu me montres ta petite culotte ! marmonna-t-il, se sentant soudain ridicule et ayant, au final, peur d’essuyer un refus.

Le petit chaperon rouge sentie ses joues devenir aussi rouges que sa jupe. Partagée entre le signal d’alarme qui s’était allumé dans sa tête et lui criait de partir à toutes jambes ; et le désir de revoir le sourire de ce loup qui avait l’air si gentil et qui somme toute ne demandait pas quelque chose de si difficile ou dangereux…

Elle prit brusquement sa décision et souleva rapidement sa petite jupe, dévoilant une minuscule culotte de coton immaculée…

Rouge de confusion, elle vit l’œil du loup s’allumer et un grand sourire de satisfaction s’étaler sur son visage.

Prenant ses jambes à son cou, elle détala le plus vite possible.

 

 

Le lendemain, le loup était à la même place, la guettant de loin.

Son cœur s’emballa quand elle l’aperçu. Une envie irrésistible de lui sourire et surtout, qu’il lui dise encore de gentilles choses, et même, qu’il lui demande encore de lui montrer sa culotte…, enflait en elle au fur et à mesure qu’elle se rapprochait de lui.

-Bonjour petit chaperon rouge.Lui dit-il de sa voix chaude et profonde.

-Bonjour. Répondit-elle avec un franc sourire de ravissement.

-Tu es toujours aussi jolie.

-Merci ! Ses joues étaient déjà rouges du plaisir qu’il lui parle encore.

-Tu veux bien tourner comme hier, mais en soulevant ta jupe que je te vois mieux ? lui demanda-t-il d’une voix douce et bien plus assurée que la veille. Il avait compris à ses joues cramoisies qu’elle ne dirait pas non…

Baissant les yeux car elle se sentait tout de même gênée, elle s’exécuta cependant, tournant plusieurs fois sur elle-même. Elle avait l’impression de sentir le regard du loup sur ses fesses et cela provoquait de drôles de sensations…

 

Celui-ci en éprouvait tout autant. Cette petite culotte blanche remplie de charmantes courbes le troublait terriblement et il devait faire de gros efforts pour ne pas se jeter sur elle tout de suite.

 

S’éclaircissant la gorge, il lui fit comprendre que c’était assez.

Il lui prit la main pour qu’elle arrête de tanguer, emportée qu’elle était dans un tournis incontrôlé. Et l’attirant vers lui, il déposa un chaste baiser sur ses joues en feu.

-Tu es magnifique ! Veux-tu que nous jouions à un autre jeu tous les deux ? murmura-t-il  à son oreille.

-Oh ! oui !s’écria-t-elle aussitôt, emportée par la joie de se sentir si jolie à ses yeux… Elle avait déjà oublié toute prudence.

-Nous pourrions jouer aux défis !

-Je ne connais pas ce jeu.

-Alors, c’est moi qui lance le premier… L’animal riait sous cape de la trouver si naïve. Je te défis de venir demain matin sans culotte… Il arborait un sourire moqueur où transparaissait son côté carnassier…

Mais les yeux ronds du petit chaperon rouge indiquaient clairement sa stupéfaction devant une telle proposition… Elle ne savait que penser et ne remarquait pas le sournois de l’attitude du loup… Se dégageant soudain, elle partie une fois de plus en courant.

 

Lorsque le lendemain il la regarda arriver, il n’arrivait pas à deviner si elle avait obtempéré ou non…

De son côté, elle avait laissé cette idée saugrenue tourner à l’endroit, à l’envers dans sa petite tête. Inutile de s’en faire, la nuit portant conseil, elle s’était endormie sans avoir pris aucune décision… Ce n’est qu’au moment de sortir de chez elle qu’en un geste discret et rapide, elle  fit disparaître le petit morceau de coton blanc au fond de son sac.

Elle s’avançait donc légère et souriante par le chemin, avec son air d’insouciance habituel. Elle goûtait le plaisir neuf de l’air vif entre ses jambes nues et riait de sa hardiesse.

Arrivée à la hauteur du loup, elle se plaça devant lui, affichant un sourire épanoui.

 

A l’instant où il comprit qu’elle était très fière d’elle, il su qu’il avait gagné. Il l’invita d’un geste à s’approcher de lui et quand elle fut à sa portée, il se laissa tomber à ses pieds et enserra d’un geste sûr les cuisses tendres de ses grandes mains.

Surprise, elle voulu échapper à l’étau qui serrait ses jambes l’une contre l’autre. Mais elle ne pouvait pas bouger. Sa tête soudain disait « pars », son corps disait  « reste ». Une peur incontrôlable montait en elle, en même temps qu’une chaleur s’étendait dans son ventre.

 

Lorsqu’elle ne fit plus de gestes de recul, il desserra son étreinte, légèrement, ne la laissant pas pour autant écarter les cuisses.

Très lentement, il passa la tête sous la jupe courte du petit chaperon rouge. Il découvrait avec délice le sexe nu de la jolie fille. Il laissa la pointe de sa langue effleurer l’abricot parfumé.

Elle n’en revenait pas des sensations qui l’assaillaient. Une chaleur de plus en plus intense se répandait dans son corps, dans ses reins, son ventre. Descendait le  long de ses jambes serrées. Montait jusqu’à son cœur qui soudain éclata en millier d’étoiles multicolores. Elle se pâmait et ses jambes se dérobaient sous elle.

De ses longues mains il accompagna sa chute en douceur, la recueillant dans ses bras. Elle avait perdu connaissance, emportée bien loin dans un monde de douceur. Il en profita pour poser ses lèvres sur les siennes et introduire vivement sa langue dans sa bouche fraîche.

Elle sentait une douce caresse rouler sur sa langue. Elle eu l’espace d’un instant la certitude qu’il la goûtait, qui s’apprêtait à la dévorer. Elle n’avait plus de volonté, plus envie d’ouvrir les yeux. Elle se laissait guider, comme hypnotisée par ses propres sens.

Il cueillait ces lèvres couleur de cerise, avec délectation… un sentiment de puissante possession l’étreignait. Il se sentait plus fort, pris d’une envie soudaine de la posséder plus encore. Elle devenait dépendante de lui et lui-même responsable d’elle. Il se surprenait à désirer la voir s’abandonner, s’offrir avec bonheur, sourire, lui sourire…

 

Il lui fallait se secouer.

Il se releva d’un coup et lui redressa la tête, la prenant délicatement dans sa main.

Il lui dit, les yeux plongés dans les siens si troubles : « Tu es délicieuse… Je voudrais encore te goûter… Tu veux bien ?

Elle se senti fondre de bonheur en laissant ces mots atteindre son esprit embrouillé.

-Oui ! souffla-t-elle.

-Retrouve-moi ce soir, en sortant.

-D’accord.

-Chez « la mère grand ». J’essaierais d’y arriver avant toi !

Il appuyait ses mots d’un regard velouté, lui offrant un sourire aux charmes certains.

Le petit chaperon rouge, se sentait délicieusement prise dans un filet qu’elle désirait sentir autour d’elle.

 

Ils se séparèrent lentement, sans autre contact que leurs regards plantés l’un dans l’autre.

Il sentait son pouvoir sur elle grandir et il aurait tout donné pour ne plus lâcher ses yeux.

Elle se sentait se noyer avec délice dans ses prunelles, où il lui semblait voir briller son image. Elle se sentait belle dans ses yeux. Sa faim d’elle lui semblait palpable.

Elle s’enfuie une fois de plus en courant.


  

 

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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