Très cher fou.
Que vous m’avez torturé l’esprit à ne point savoir comment décider…
De l’arrivée de votre missive au départ vers le salon de Mademoiselle, je n’ai fait que tourner du non vers le oui et vis et versa.
Vous me tentiez tant, mais en même temps, m’exposer ainsi aux regards des galants…
Que même mon époux, jamais n’ai aperçu ma crinière en liberté, pesait assurément sur mes jugements…
Mais votre folie m’a gagnée.
Et si j’ai fait preuve de tant de distance pour votre personne, c’était pour ne pas risquer perdre ma dignité que ma tête nue ne pouvait garantir.
Vous aviez raison, cette liberté m’a procurée des sensations étranges et ignorées.
Et il me tarde de savoir vos impressions sur mon indécence.
J’attends donc vos mots pour moi.
Ne me faites pas trop attendre, je vous en conjure.
Votre impatiente-impudique.
Vos derniers mots