Mon bel amant…
Quelle emprise avez-vous de moi, pour ainsi obtenir ma reddition dans chacune de vos entreprises ?
Vous entendre me murmurer ce qu’il pourrait advenir de moi si je vous laissais maître de mon corps, me fait frissonner encore, à la seule évocation de vos mots…
Et je ne saurais décrire mes sentiments lorsque vous avez empoigné mes cheveux pour vous assurer meilleure prise et qu’ainsi vous me forciez à m’offrir plus encore à vos estocades. Un mélange étrange de révolte et de soumission m’a submergé à cet instant et la volupté éprouvée n’eue d’égale que ma colère.
Votre physique vous avantage dans nos corps à corps enragés, mais la faiblesse de mon corps n’est pas due qu’à ma seule constitution, j’en ai peur…
A vous lire je me sens de nouveau faiblir, faîtes moi donc défaillir, je n’attends plus que cela.
Votre sauvage.
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