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  • Lyzis et son L
  • : 10/12/2007
  • : Lire : Ici

Fantaisies imaginaires

Lundi 11 février 1 11 /02 /Fév 10:51

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Assise au soleil sur la terrasse, plongée dans ses pensées… elle se laisse revivre langoureusement, les images de ses rêves nocturnes…

Les yeux perdus sur les sommets enneigés, son esprit s’égare, réveillant peu à peu son corps.

Après l’euphorie du petit déjeuner collectif, elle goûte le calme retrouvé. Rire et chahuter dès le matin la rend gaie, mais se recentrer sur elle dans le silence, lui donne un sentiment de plénitude.

 

Elle est à la limite d’une douce torpeur, lorsqu’une voix grave résonne tout près… elle perçoit même un souffle chaud et parfumé, qui lui effleure la joue…

-        Vous rêvez éveillée ? murmure l’homme, penché à son oreille…

Elle sourit instinctivement, avant même de tourner la tête et de se retrouver, les yeux emplis de son regard rieur.

Il se redresse lentement. « Je peux ? » demande-t-il en tirant une chaise près de la sienne.

Elle agrandit son sourire en guise de réponse.

 

Un silence, mélange de gène et de satisfaction, s’établit entre eux…

La soirée de la veille, qui n’avait pas quittée leurs mémoires, revient en pans entiers, plus claire et précise que jamais…

Le vin chaud qui lui avait si rapidement fait perdre la tête, lui semble de nouveau lui monter aux joues…

Lui, ne peut s’empêcher de l’observer à la dérobée, puis de plus en plus longuement…

 

Elle tourne enfin la tête et un fou rire, joyeux et nerveux, les submerge.

-        Vous voila de nouveau toute rouge… vous n’allez pas me dire que je vous fais le même effet que le vin chaud ! dit-il en retrouvant son calme rapidement.

Elle cache son rire de grelot derrière sa main, incapable de parler…

-        Approchez ! dit-il soudain d’un ton ferme.

Elle cesse immédiatement de rire… figée… ses yeux immenses, emplis d’une interrogation muette…

Délicatement, il ôte les mèches qui balaient son visage. Et d’un geste furtif, caresse sa joue du bout des doigts, avant de lui sourire de nouveau…

Elle lui renvoie un petit sourire hésitant, troublé plus que de raison…

-        Savez-vous que vous avez hanté ma nuit ? murmure-t-il soudain.

-       

-        Vous avez dansé pour moi… J’ai beaucoup aimé votre façon de bouger…

-        Arrêtez ! dit-elle dans un souffle… ses yeux brillent comme pour démentir la couleur cramoisie de ses joues… Je ne suis pas une adepte des compliments…

Son petit sourire implorant est irrésistible. Il attrape sa nuque et sans ménagement, l’attire vers lui pour déposer ses lèvres sur les siennes.

Ils échangent un long baiser, tendre et mordant… Elle ferme les yeux et se laisse emporter. Lorsqu’ils se détachent, leurs yeux s’emplissent du désir de l’autre…

Pour reprendre le contrôle, elle détourne son regard, fuyant vers les sommets. Il respecte la trêve, et observant lui aussi les skieurs matinaux, il recouvre de la sienne la petite main brûlante.

Il joue de ses doigts, de sa peau sans en avoir l’air… il presse, caresse, chatouille, avec une infinie délicatesse… Par instants, elle a l’impression que sa main est minuscule, prisonnière d’un géant,  à d’autres, qu’il étudie minutieusement, du bout des doigts, chaque centimètre de sa peau… Elle ne peut s’empêcher de répondre aux caresses… peu à peu, sa main s’active elle aussi… elle frémit, s’allonge, se rétracte, se tend ou s’abandonne… Elle ne voit plus la neige briller… elle n’est plus que cette main cajolée, malmenée…

Il a senti le changement et sans brusquerie, il appuie de plus en plus les contacts… il insiste quand il la sent vibrer, il pince un peu pour l’éprouver, il l’enferme pour la posséder…

Soudain, il se lève, sans lui lâcher la main.

-        Venez !

Elle sait ce que cela implique, elle sait où il va l’emmener, elle sait qu’elle devrait dire « non », elle sait qu’elle ne le dira pas…

Elle se lève et, laissant sa raison sur le balcon, le suit sans une hésitation…

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Lundi 28 janvier 1 28 /01 /Jan 06:36

Elle ne sait même plus depuis combien de temps elle est là.

Il l’a punie, seule à genou dans la petite chambre, elle attend.

 

Elle l’a cherché, elle l’a trouvé… mais elle ne s’attendait pas à ce qu’il la laisse si longtemps…

Elle entend la télévision à côté et l’imagine, allongé, nonchalant, fumant une cigarette en regardant un bon film…

Elle pourrait être bien installée à côté de lui, dans ses bras même, pelotonnée au creux de son corps…

Mais non, il en a décidé autrement… peut-être l’a-t-il oubliée…

Mais non, c’est impossible…

Mais pourquoi tarde-t-il tant à l’appeler ?

Et si elle se levait et allait voir ?

Il serait fâché… c’est sur…

Et puis elle veut lui montrer de quoi elle est capable… elle attendra toute la nuit s’il le faut…

Non, en fait elle ne tiendrait pas toute la nuit… la position n’est pas des plus confortable…

Et si elle s’allongeait deux minutes pour détendre ses jambes ! Juste deux minutes !

Il serait bien capable d’entrer à ce moment là… et de la laisser encore plus longtemps…

Il faut penser à autre chose…

 

Mais comment faire quand la morsure autour de son cou est si présente ?

Parce qu’en plus de l’avoir punie, il lui a attaché autour du cou, non pas son petit collier de tulle qu’elle aime tant, mais une espèce de collier de cuir rouge, raide et serré.

Elle ne voulait pas… « Non, tu ne vas pas me mettre ça autour du cou ! Je ne suis pas un chien… »

Mais elle eu beau tempêter, essayer de se défendre, parlementer et même s’échapper, il n’avait pas cédé.

« Viens ici ! Et tiens-toi tranquille. C’est ce collier que je veux te voir porter aujourd’hui, et je te punirais plus longtemps encore si tu continues. » Avait-il dit posément, mais sur un ton sans appel.

Elle était revenue vers lui la tête basse… la pire des punitions était pour elle l’attente et il le savait…

Qu’il la mette en conditions, allumant la mèche comme il savait si bien le faire… puis, qu’il la fasse mijoter en la gardant sous pression… et là, il obtenait tout ce qu’il voulait…

Pour écourter l’attente, elle était prête à tout…

 

Ce soir, elle en était à se demander si elle pourrait supporter d’attendre encore une seconde de plus, lorsqu’il ouvrit la porte à la volée…

 

Elle semblait si vulnérable, à genou sur son coussin, entourée de bougies…

Son corset l’obligeait à garder le dos droit et elle portait si fièrement, presque avec hauteur son nouveau collier…

Une bouffée de tendresse l’étreignit, mais il ne voulait rien laisser paraître… il voulait lui offrir les sensations auxquelles elle aspirait, sans peut-être le savoir…

Attendre ainsi était difficile pour elle et il le savait bien… alors, il voulait la récompenser d’avoir tenu si longtemps…

 


Lèves toi ! Allez !

Ses jambes engourdies ont du mal à la soutenir.



Elle est si belle drapée dans son orgueil, toute droite devant lui.

Il ne peut s’empêcher de lui sourire…

Elle lui rend son sourire, à demi rassurée… elle sait le jeu, mais…

Il l’attrape rudement par les épaules et la pousse devant lui…


Chambre-d-amoureux.jpg

 

La chambre en demi-pénombre est hantée par les flammes qui dansent…

Il lui laisse balayer la pièce pour qu’elle devine les objets mis en évidence…

Il aime l’idée qu’elle puisse s’effrayer de ces instruments et de se qu’il pourrait en faire…

Il lâche ses épaules au centre la pièce, la positionne face au lit, lui ramène les mains sur la tête… « Ne bouge surtout pas… »

 

Sortant de sa poche un masque, il lui ferme la vue… il sait aussi son plaisir et ses peurs décuplés par la cécité…

 

Elle se retrouve enfermée en elle, prisonnière des yeux de celui quelle aime… et son cœur aussitôt s’emballe… oubliant l’attente… oubliant tout ce qui n’est pas lui et son ressenti à elle…

Elle écoute, tente de deviner, où il se trouve, ce qu’il peut faire avec ce qu’elle a aperçu…

 

Mais pas de bruit, seul l’air semble en mouvement autour d’elle…

Il doit se déplacer… balayant l’air, avec quelque chose de totalement silencieux, qui perturbe l’atmosphère qui l’entoure…

Elle ressent les frissons de sa peau que ce courant active.

 

Le claquement soudain  sur ses fesses, lui arrache un cri de surprise…

Elle se raidie, se cambre et s’attend à une nouvelle frappe…

Mais ce n’est qu’un courant d’air qui caresse ses rondeurs…

 

Il joue ainsi de sa tapette, tantôt frôlant à la limite, tantôt abattant de toute sa largeur, distribuant le chaud, le froid, attentif au corps et cris de sa belle…

 

Lâchant l’objet, il la caresse, frôlant les rougeurs qu’il a provoquées…

Il la laisse poser ses bras autour de son cou et lui dévore la nuque avant de l’embrasser…


Elle est prête à répliquer qu’elle n’est pas du tout fatiguée, mais d’une main ferme appuyée sur sa bouche, il lui intime le silence…


 

Il la tire par le bras sans ménagement, s’assoit sur le lit, la couche en travers de ses genoux et posant une main sur sa bouche pour l’empêcher de crier, il abat l’autre, sans ménagement, sur ses fesses déjà rosées…


As-tu compris ? demande-t-il, cessant enfin de faire claquer sa main… et relâchant la pression sur sa bouche…

Les larmes lui brouillent la gorge… et elle a peine à murmurer un tout petit « oui »…

Elle se sent à la fois si honteuse, si petite, si vivante et si pleinement à lui… elle en défaillirait presque…

Il la caresse doucement maintenant… promenant ses doigts jusque dans son intimité qu’il sait déjà si trempée…


 

Il la prend par la main, et la guide jusqu’au siège suspendu… il l’aide à s’installer, liant ses mains et ses pieds aux cordages…

Elle se retrouve sans défenses, offerte à celui qu’elle aime, indécente…

Elle s’attend à ce qu’il la touche, la caresse, la pince… mais rien…

Elle sent l’odeur de la cigarette… il la regarde sans doute.

Elle perçoit la fraîcheur de l’air extérieur… il doit être assis sur le rebord de la fenêtre ouverte…

La honte d’être ainsi, monte inexorablement… elle se sent rougir…

Mais il ne fait toujours rien…

Elle entend ses pas sur le plancher, il passe à côté, sans s’arrêter…

La porte s’ouvre et se referme derrière lui…

Ce sont les graviers de l’allée, juste sous la fenêtre, qui crissent… elle les a reconnus.

Il se met à parler, fort, comme à son habitude quand il téléphone… « Dans un quart d’heure ! Ok. J’ai fait ce qu’il fallait… pas de souci… elle est à point… »

Il rit, faisant les cent pas tout en discutant…

 

Les mots ne veulent pas franchir la barrière de sa compréhension…

Quand elle accepte enfin ce qu’elle a entendu, elle ne peut s’empêcher de s’agiter… elle tire, pousse pour tenter de se dégager… elle se met à gémir pour l’apitoyer, qu’il la détache, lui explique…

Qui ? Mais qui a-t-il appelé ?

 

Elle ne s’est même pas rendu compte qu’il était revenu…

C’est son souffle chaud sur son sexe qui la fige immédiatement…

Elle s’apprête à ouvrir la bouche, mais il l’embrasse avant qu’elle n’ait le temps de dire quoi que ce soit…

« Chut ! N’oublie pas… tu ne dois pas parler… » Glisse-t-il avec calme…

 

La panique fait son chemin… elle n’arrive plus à penser… tout se brouille…

Il fume de nouveau une cigarette, l’observant, si belle dans la peur qui la gagne… peur et excitation… adrénaline qui monte en flèche dans ses veines…

 

Elle l’entend approcher… elle gémie pour qu’il cède, pour qu’il explique, qu’il la rassure…

Mais ce sont ses mains froides qui lui répondent, en se posant sur ses hanches…

Il souffle sur son sexe offert sans défense…

Elle s’agite, tente inutilement de s’échapper, rendant plus indécente encore sa position…

En prenant soudain conscience, elle se fige, percevant immédiatement la caresse humide de sa bouche… sa langue activant un feu qui l’enflamme…

Elle laisse le plaisir l’envahir, l’embraser…

L’angoisse se dilue, disparaît et fait place à une explosion d’étincelles…

Elle passe en apnée, il la sent se pâmer dans ses mains…

Plus de son, plus d’image… la peur a décuplé sa jouissance…

 

Il la détache et la prend dans les bras, l’emportant tendrement dans leur lit…

Elle n’est pas encore revenue, quand il se glisse à ses côtés pour la caresser doucement en fumant une nouvelle cigarette… Ils récupèrent…

 

Après l’avoir câlinée un peu et embrassée beaucoup, il s’extrait de son étreinte et la poussant doucement sur le ventre, il attrape ses poignets l’un après l’autre et la menotte aux barreaux du lit.

Elle ne montre aucune résistance… se laissant manipuler avec docilité…

Il a le pouvoir, il peut faire ce qu’il veut… il en a soudain violemment conscience…









 

Il descend du lit et remonte debout derrière elle quelques secondes après…

Elle reconnaît le bruit caractéristique des lanières du fouet battant l’air…

Elle se raidit, se cambrant involontairement et semblant par la même, tendre ses fesses vers la punition…

Il s’applique, tentant de déplacer le plus d’air possible pour l’envelopper… jetant la masse entière de cuir sur les rondeurs qui s’offrent à lui, chauffer dedans sans brûler dehors…puis se retire le plus lentement possible, caresser de ses doigts multiples pour apaiser le feu dehors et augmenter le feu dedans…

La douleur semble insupportable le temps d’un souffle et l’intensité du brasier qui la consume deviens infini…

Sa main fraîche qu’il pose délicatement sur l’écarlate, ses caresses légères qu’il alterne avec la brûlure du fouet, les frôlements appuyés des lanières sur son sexe au rythme de ses propres pulsations… ont raison de son plaisir. Et elle ne peut se retenir, s’effondrant sous les vagues qui la terrassent…

 


Tu veux que je te baise ?

Il ne lui laisse pas de répit…




Tout en lui parlant, il l’a remise à genoux et caresse ses fesses, frôlant de plus en plus précisément son sexe…



Sa respiration c’est accélérée… elle n’arrive pas à prononcer ce genre de mots… et encore moins dans de telles situations… c’est ce qu’il lui demande de plus difficile… dire les mots lui est torture…



Elle se sent terriblement fragile, incapable de faire ce qu’il lui demande… elle rassemble son courage pour répéter docile ce qu’il lui dit…






Prononcer une telle phrase la trouble au-delà d’elle-même… comme s’il lui était nécessaire d’oublier qui elle est pour se dépasser…

 

Elle n’est plus que sa chose lorsqu’il la pénètre, l’attirant vers lui de ses deux mains sur ses hanches… il se sert de son corps… elle se tend cherchant l’intromission plus et plus encore…

Il cherche des doigts sont petit œillet… le masse… l’écarte doucement…

Sortant soudain de son sexe, il présente son membre tendu à l’orée de ses fesses…






 

La douleur la transperce comme une lame…

Elle croit défaillir…

Mais déjà le va et vient puissant la remplit.

Et elle sent son corps se détendre, se laisser envahir par son sexe…

Elle perd pied sans prévenir… hululant son plaisir en se cambrant plus que de raison…

 

Il la possède… un sentiment de puissance l’envahit… il sent sa vie à elle entre ses mains à lui…

Une vague chaude monte en lui… il fait un effort surhumain pour se retenir… tenir encore un peu…

Il la sent partir… il sait qu’elle va retenir sa respiration jusqu’au bout…

Elle s’alanguie soudain entre ses mains, il perçoit le relâchement de ses muscles… l’abandon de ses défenses… elle semble ne plus respirer…

Il se retire très lentement, prenant soin de la soutenir de ses bras…

Il la dépose tendrement sur le côté, en profitant pour écarter quelques mèches de cheveux…

Il l’embrasse … mais ne la détache pas…

 

Il se lève… et elle l’entend : « Entre, nous t’attendions… »

Son cœur s’arrête…

 

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Jeudi 17 janvier 4 17 /01 /Jan 17:55

Sortant de ma douche, je m’assoie dans le fauteuil à roulettes devant l’ordinateur…

M S N quand tu nous tiens…

Soudain, il entre… s’approche… et lit par-dessus mon épaule…

Je me retourne et lui propose de couper…

-     Non, non. Avec qui discutes-tu ?

-     Avec  « X »… Il voudrait savoir comment je suis habillée…

-     Et bien réponds lui !


 

-     J’ai juste une serviette autour des hanches car je sors de la douche…

-     Si j’étais là !!!

-     Oui ?

-     Te voir avec une serviette sur les hanches me plairait beaucoup.

-     Ah !

-     Je glisserais mes mains dessous, afin de deviner…

 

Aussitôt, il passe ses mains sous ma serviette et tâtonne activement les courbes qu’il rencontre…

-     Et ?

-     Je caresserais tout ce que je pourrais, m’introduirais parfois…

Ses doigts entrent en moi sans rencontrer la moindre résistance.

-     Et puis ?

-     Mon jean ne tiendrai pas, j’aurais envie de toi nue, et je virerais cette serviette violement…

Sans ménagement, il se redresse et tirant d’un coup sec sur le tissu éponge, il l’écarte et je me retrouve nue devant lui…

-     Et ?

-     Je me mettrais à 4 pattes…

 

Il s’exécute et plonge son regard entre mes jambes…

-     Alors ?

-     Alors je te goûterais lentement, apprendrais tes formes et tes saveurs…

Il pose délicatement sa langue sur mes lèvres déjà humides… Il les lèche, les parcourt, pénètre légèrement ma fleur…

-     Mumm !

-     Tu aimes ?

-     Beaucoup…

-     Encore ?

-     Oui !!!

-     Je me déshabillerais tout doucement devant toi.

Il se relève et faisant durer le plaisir, se dénude.

Enfin, son sexe apparait devant mes yeux et une envie impérieuse me tend vers lui.

-     Je prendrais ton sexe entre mes deux mains et t’approcherais de ma bouche…

-     Ok !

-     De la pointe de ma langue, je ferais le tour de ton gland, puis j’étudierais minutieusement chaque centimètre de ta hampe, uniquement avec ma langue…

-     Humm mm, continue…

-     De baisers légers en petits coups de langue, je remonterais. Et avec gourmandise, j’engloutirais délicieusement ta virilité…

-     Continue !

-     De longs va-et-vient dans ma petite bouche chaude… ponctués de succions et de caresses de ma langue…

 

-     Oh ! Ma petite suceuse… Mumm !!!   que c’est bon…

 

-     Ok ! à mon tour…

-      ?

-     Je t’attraperais par les épaules et te relèverais… puis, je te retournerais sur ton fauteuil et te lècherais encore et encore…

 

Il m’installe devant lui, à genou sur le siège. Pose ses mains sur mes fesses et m’envahit de sa langue…

 

-     Puis je me dresserais derrière toi…

Et présenterais mon gland au bord de ta grotte…

Avec la plus grande lenteur, je pénètrerais en toi afin de découvrir ta chaleur, ta douceur…

Je ressortirais entièrement et cette fois encore, j’explorerais ton sexe avec minutie …

Puis, je n’en pourrais plus et je te prendrais avec violence…

J’accélèrerais mes mouvements, pour frapper avec force mon pubis contre le tien…

Ta cyprine coulerait tant, que la sensation serait du bonheur…

-    

-     Tu es toujours là ?

 

 

-     Merci !!!

-     De quoi ? Tu mouilles ?

-     J’ai joui… Nous avons joui…

-     Non, je n’ai pas encore … c’est qui nous ?

-     Lui et moi… tu nous as fait jouir…

-     Ah ! Et c’était bon ?

-     Comme tu l’as décrit… sauf la fin que nous avons terminé tous seuls…

-     Bon, je vous laisse alors… Je vais me débrouiller tout seul moi… ;-)

Content d’avoir été utile. Bisous mouillés à tous les deux.

-     Plein de bisous à toi… Et à très bientôt !

 

Il éteint l’ordi, m’embrasse et m’entraine sous la douche avec lui…

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Jeudi 10 janvier 4 10 /01 /Jan 00:00

Lit-d-amoureux.jpg

Elle s’éveille, la chaleur filtre à travers ses paupières closes.

 

Le flux entre ses neurones redevient régulier.

 

La  conscience d’être revient par intermittences.

 

Avec elle, les sens reprennent leur place et réapprennent le monde : le poids de son corps sur le matelas, la légèreté du drap sur sa peau…

 

Elle s’étire, profitant de ces minutes entre le réel et le rêve.

 

Soudain, sa conscience l’éblouit… elle est rentrée avec un homme hier soir !

 

Elle ouvre les yeux, cherchant le corps qui, elle le sait…, l’avait tenue dans ses bras cette nuit.

 

Mais le lit est vide.

Elle se concentre sur les sons.

Son cœur cesse de battre.

Rien, pas d’eau qui coule, pas de bruits…

 

Elle est soulagée.

Elle reprend son souffle, se détend et replonge dans les sensations passées.

 

Elle sent ses mains sur sa nuque, ses baisers, ses yeux et son désir sur elle, son corps, sa langue, son sexe et ses assauts cadencés.

 

Elle autorise ses mains à réchauffer son corps…

Elle replonge dans un monde fantasmé, où elle recherche le plaisir, seule, enfermée avec un souvenir…

 

Elle est repartie dans un sommeil sensuel, lorsqu’elle perçoit l’ombre d’une présence.

 

Ouvrant les yeux, elle est aveuglée par la luminosité qui vrille ses pupilles… devinant la silhouette masculine qui la surplombe, elle sent monter le rouge à ses joues.

 

 

 

 

 

Comment lui dire qu’il est de trop ? Comment lui faire comprendre qu’elle a eu ce qu’elle voulait et qu’elle se réjouissait déjà qu’il soit parti sans demander son reste ?

 

Pourquoi semble-t-elle soucieuse ?

Elle avait un visage serein il y a une seconde !

Le rose de ses joues était si attendrissant…

Il ne peut retenir le début d’érection, que la présence de ce corps qu’il a pris cette nuit, provoque.

 

 

 

 

 

 

Il semble confus et cela la fait sourire.

Elle le trouve beau et ce regard triste accentue son charme.

 

Mais elle ne doit pas fléchir… Il faut qu’elle lui dise qu’elle ne veut pas s’engager et qu’une histoire d’un soir lui suffit

 

 

 

 

 

 

C’est moi ! Uniquement moi !

 Je ne veux pas me fixer… je ne suis pas capable de donner plus… Désolée.

 

Il ne peut détacher ses yeux de cette nuque baissée. Elle lui cache son visage et il croit deviner qu’elle manque d’assurance en murmurant ces mots.

Peut-être qu’au fond, elle ne pense pas ce qu’elle lui dit !

 

Il veut en avoir le cœur net.

Il pose ses mains sur les épaules nues et de ses deux pouces passés sous son menton, bascule le visage de la belle vers lui.

 

Elle tente une esquive, mais sa prise est ferme.

 

Elle a les yeux sombres, le minois buté et les lèvres pincées.

 

Elle attrape ses poignets pour le faire lâcher prise. Mais il ne cède pas.

 

D’un mouvement rapide et instinctif, il se penche sur elle et colle sa bouche à la sienne.

Il force l’entrée de ses lèvres.

 

Elle résiste, se débat.

 

La chaleur de ce baiser lui remémore ceux de la veille.

Comment résister à cette langue qui caresse la sienne, à ces lèvres qui effleurent, écrasent les siennes ?

 

Elle répond à ce baiser et se laisse glisser…

 

D’une main, il enserre sa nuque.

De l’autre, il caresse ses seins.

Il prend dans sa paume, sa courbe généreuse, effleurant de sa chaleur le tendre arrondi.

Il agace les pointes.

 

Quittant sa bouche, il frôle de son souffle sa gorge enflammée.

 

Elle sent son corps se rendre. Ses lèvres sur sa peau  cèlent sa rémission…

 

Elle s’abandonne à ses bras et lui tend son corps.

Elle se colle à lui, se cambrant avec passion

 

La reposant sur le lit, il se déshabille à la hâte.

 

Elle l’observe à la dérobée, masquant son regard derrière la noirceur de ses cils.

 

Elle évalue la douceur de sa peau, son odeur qui lui est connue.

Elle le caresse des yeux, imaginant le voyage de ses mains…

 

Lorsqu’il la rejoint, ses doigts courent sur son torse.

Elle effleure sa douce chaleur.

Elle éprouve sa force de ses caresses fraîches.

Elle sent la tension envahir les muscles, parcourir la peau, le tendre vers elle.

 

Après maints pas de valse, la caresse atteint son but.

La tension est telle, que le frôlement lui arrache un cri.

 

Elle ondule pour pouvoir poser ses lèvres sur son « désir dressé ».

Elle fait danser sa langue en arabesques fines, goûte la douceur tiède, caresse de ses lèvres l’étendard érigé pour elle.

 

Puis, arrondissant sa bouche, elle engloutit, semblant se délecter de chaque centimètre, le sexe de son amant.

 

Il se regarde disparaître dans cette fournaise humide.

 

Il laisse le plaisir monter au paroxysme sous les mouvements amples de cette bouche ronde…

Avant de l’attraper par les cheveux et de se retirer de force.

 

Prenant sa tête entre ses mains, il l’attire et l’embrasse avec ardeur.

 

Puis, la basculant sur le dos, se place entre ses cuisses offertes et soude sa bouche à ses lèvres trempées.

 

Ses doigts perdus dans la soie de ses cheveux, ses yeux clos sur le plaisir qui l’envahit, elle se met à gémir comme un bateau tangue… en mélopées chaloupées.

 

Et ce n’est que quand il la sent au bord du précipice, ayant attrapé à pleine mains les barres métalliques du lit, tendant désespérément son corps vers sa gourmandise, mordant ses lèvres aussi fort qu’elle ferme les yeux, qu’il se redresse et la regarde.

 

Il semble emplir sa mémoire de son corps qui s’apaise.

Il caresse les creux nouveaux qui se dessinent sous ses yeux.

 

Puis se penchant pour déposer un baiser sur ses paupières, il lui demande dans un souffle : « Veux-tu encore jouer ? »

 

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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Dimanche 6 janvier 7 06 /01 /Jan 00:00

Je reprends mon souffle et un semblant de lucidité, en dessinant lentement et avec application de multiples arabesques sur sa peau sensible… C’est mon tour… Je fais attention à ses soupirs, aux frissons légers qui le parcourent…

Lorsque je pose mes mains sur la  ceinture de son pantalon, il les attrape brusquement.

 

Je dois avoir un air dépité, car il éclate de rire…

 

Il ne m’a pas lâché les poignets et tire vers le haut, joignant le geste à la parole…

Je me sens soudain vulnérable… une vague de honte mêlée de désir frustrés me submerge… monte jusqu’à ma gorge et l’étreint au point d’emplir mes yeux d’eau salée…

Il l’a vu et se levant, me serre dans ses bras sans lâcher mes poignets et murmure : - Je veux jouer encore… tu veux bien ?

J’avale avec difficulté ma salive… la tension en moi est si forte… J’ai envie de crier « OUI » et en même temps de fuir… Le dilemme sépare ma raison en deux… Je suis si embrouillée…

Sa bouche sur ma peau me brûle délicieusement… ses doigts qui retiennent mes bras dans mon dos me contraignent délicatement… sa main qui se pose à plat sur mon ventre propage un feu qui me dévore l’intérieur…

Lorsqu’il lâche mes poignets pour caresser mes fesses, je m’accroche de nouveau à lui, caressant ses muscles chauds…

 

J’ouvre les yeux, incrédule…

 

Je baisse les yeux… je ne peux que rougir et tenter de cacher la violence des sentiments de honte et de désirs que ses mots provoquent…

Il a senti mes résistances tomber. Attrapant mes bas, jetés pêle-mêle au sol, il attache calmement mes poignets au porte-bagages.

Mon sentiment de vulnérabilité est à son paroxysme… une peur sourde fait son chemin dans mon esprit, brouillant plus encore mes repères…

Méthodiquement, puis de plus en plus anarchiquement, il entreprend la découverte du reste de mon corps… Il frôle, caresse, touche, empoigne, pince, claque, mes creux et mes rondeurs… Il s’arrête et regarde mon corps de si près que ses yeux me brûlent… Il joue du morceau de tissus qui me reste… le plaque contre mes plis cachés… le forme à mon sexe trempé… le caresse quand je désir sa peau contre la mienne… il me rend folle du désir de le sentir.

Je ne suis plus que gémissements… tensions sans fond qui m’entrainent infiniment… mon sexe pulse dans tout mon corps… n’espérant plus que la violence d’une pénétration… le sentir enfin prendre possession de mon corps… me délivrant de ce plaisir sans fin…

Mais c’est la violence de sa main s’abatant sur mes fesses, qui déclenche l’explosion attendue… en même temps qu’un cri de surprise. Mon corps m’échappe, se tend comme un arc. Je ne maîtrise plus rien… je suis balayée par une tempête intérieure… mes jambes ne me soutiennent plus… ma tête est emplie d’une explosion multicolore… plus de pensée… plus de forme… la ouate m’a envahie… je ne suis plus que chair et sang…

Il me recueille dans ses bras, me détachant d’un geste sûr. Il me laisse me lover sur ses genoux… me replier au creux de sa chaleur. Il me berce doucement… patiemment.

Mon esprit revient à lui par touches sensibles… je sens le contact de sa peau sur la mienne… la douceur m’est si évidente… mes sens semblent démultipliés… je ressens son odeur, la texture de sa peau, la chaleur de son souffle, son cœur qui bat si près du mien… mes seins tendus, mon sang qui pulse dans mon ventre, mon sexe trempé… je peux bouger de nouveau, tourner mon visage vers lui et sourire…

 

 

 

 

 

Je secoue la tête… je ne pourrais pas dormir… mon taux d’adrénaline est beaucoup trop élevé… le désir refait surface, s’impose, inexorable…

Je me tends vers lui pour lui offrir mes lèvres. Il pénètre ma bouche avec force. Je lui rends son baiser, laissant mon appétit grandir encore, stimulé par sa langue se jouant de la mienne…

Lentement, je me laisse glisser entre ses jambes… Je pose résolument mes mains sur la boucle de sa ceinture… Il n’oppose aucune résistance… Il m’observe juste en souriant… Je détache le cuir de la boucle, descends le long des boutons et plaque mes deux mains sur la bosse de son pantalon… Je tente de ressentir la tension qui l’anime, à travers le tissu rugueux… Les boutons ne résistent pas longtemps, et il se lève pour ôter lui-même ce qui lui reste…

Il se rassoit et m’offre son sexe fier. Je ne peux m’empêcher de le toucher. J’en ressens l’infinie douceur en fermant les yeux, pour voir mieux de la pulpe de mes doigts. Ils courent, animés de leur propre soif, le long de chaque centimètre de peau tendue. Ils suivent les contours les plis. Ils s’enroulent, frôlent, tâtent.

Je remplis de nouveau mes yeux de son image excitante. Délicatement, je touche du bout de la langue… une envie de le goûter éclate dans ma tête… je pose ma langue le long de son sexe et m’applique à ses goûts, ses odeurs… je ne résiste pas et arrondie mes lèvres pour le sentir en moi… il emplit ma bouche et je sens mon entre jambe inonder ma petite culotte… je le suce avec délectation… ressentant chaque changements, chaque tension, chaque frisson et chaque murmure…

Lorsqu’il attrape ma tête entre ses mains pour m’attirer vers sa bouche… je sais que c’est pour se refuser ce qu’il a peur de ne pas retenir… je sais qu’il est à la limite et qu’il veut prolonger… je sais qu’il va encore m’emmener plus loin…

 

Je ne peux m’empêcher d’écarquiller les yeux. Je suis totalement incrédule. Je n’ose comprendre. Mon esprit bloque sur un sentiment qui n’arrive pas à prendre forme. Ma raison s’oppose à concevoir mon désir.

 

Il prend mon menton et m’oblige à plonger mes yeux dans les siens…

Mon cœur est soudain oppressé. Je ne peux soutenir son regard. Sans réfléchir, je hoche le tête en murmurant « oui ».

Avec des gestes très lents, il me guide et me pousse en travers de ses genoux…

Je tremble, d’appréhension, d’excitation… je n’ose prendre la mesure de ma situation…

Lorsque sa main s’abat sur mes fesses… je me tends et cris instinctivement

 

Il pose délicatement sa main sur le morceau de tissus satiné et caresse avec subtilité… je me détends instantanément… une vague de gratitude m’assaille… j’ai envie de remercier cette main soudain si douce… je la ressens si fraîche sur ma chair en feu…

 

Je tends mes reins pour lui dire oui… je ne peux pas prononcer un mot… la connexion entre mon corps et ma raison est coupée…

Il descend ma culotte à mi-cuisse et reprend la danse de ses mains musicales… Je ne ressens pas de douleur, mais une chaleur intense qui se propage en moi… cette incandescence, si identique à celle qui nait de mes trippes quand je fais l’amour, prend sa source à ma surface… c’est lui qui me l’offre…et elle enfle à m’étouffer…

Il cesse soudain, et pose ses doigts dans le miel qui s’écoule le long de mes cuisses. Le désir qu’il pénètre en moi est plus puissant que jamais. Je me tends vers sa main…

 Mais il se promène, étale, goûte puis y revient. Il me refuse ce qui me brûle.

Il me repousse soudain vers le siège d’en face et avec rage m’enfile sur sa chair.

Je crois mourir… du plaisir de le sentir me prendre ainsi… de l’explosion de ce feu qui me dévore… du pieu qui s’enfonce en moi et que je désirais si profondément… de mon sexe qui fond… de mon corps, de mon cœur qui m’abandonnent…

Je perds toutes notions… temps, espace, sens… je ne ressens plus que son membre qui me pilonne et s’apprête à exploser en moi…

Lorsqu’il s’effondre sur moi, je ne suis plus qu’un esprit éthéré… mes pensées sont si bousculées qu’elles n’ont plus de forme… je plane et je ne sais même pas où… mais cela n’a aucune importance… rien, plus rien d’autre n’a de l’importance…

Il me prend tendrement dans ses bras et je me laisse aller au sommeil dans la béatitude.


 

Les caresses qui accompagnent ces mots semblent si décalées…

J’ouvre difficilement un œil... et souris de reconnaissance au regard qu’il m’offre.

Avec beaucoup de lenteur, je finis par être habillée, recoiffée et un peu plus réveillée.

Le train s’arrête quelques instants plus tard.

Il me glisse un morceau de papier froissé dans la main en me quittant d’un long baiser.

Un nom, un numéro de téléphone et des possibles plein la tête…

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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