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  • Lyzis et son L
  • : 10/12/2007
  • : Lire : Ici
Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 14:05

Voici mon cadeau de Noël que je dépose sans bruit au pied de votre sapin (si vous n’avez pas de sapin… tant pis… NA ! )

Attention de ne pas déchirer le papier, c’est moi qui l’ai dessiné…

  P--reNo--l.jpg

 

 

Conte de Noël

 

Le Père-Noël amoureux…

 

Il était une fois, un homme prénommé Noël.

Comme chaque année, au 1er décembre, il enfilait son somptueux habit rouge et blanc.

Et  pour 24 jours, il rejoignait une galerie chaude et animée, où trônait son traîneau vert et or.

Assis confortablement parmi des coussins de velours rouge, entouré de cadeaux de polystyrène recouverts de papiers brillants et de rubans en tire bouchon, il se plaisait à offrir des poignées de friandises aux enfants qui s’asseyaient sur ses genoux.

Cette année là, en enfilant son beau costume, il réalisa qu’il n’avait jamais été aussi authentique… sa barbe et sa moustache avaient enfin pris la véritable couleur de neige qui faisait sa réputation. Il était certain qu’aucun des bambins qui prendraient la pose avec lui, ne douterait… Il s’éclaircit rapidement la voix et entonna un « Ho ! Ho ! Ho ! », qui l’étonna lui-même. Etre le Père-Noël lui allait à merveille.

 

Il retrouva donc avec plaisir, le nain-libraire, son assistant, qui l’aidait à ouvrir son courrier et à afficher les lettres que ses fans lui envoyaient.

Les trois premiers jours furent un enchantement pour notre Père-noël, que les yeux pétillants des enfants ravissaient.

Le matin du quatrième jour, le destin décida de le rendre zinzin… Il vit arriver aux aurores, une fée des plus charmante, qui lui adressa un « Bonjour Père-Noël ! » qui fit bondir son cœur.

Il crut pouvoir apercevoir, dans son sillage parfumé, des papillons pailletés qu’elle semait à la volée… de longs cheveux, encadraient son sourire d’un halo vaporeux… ses yeux comme deux étoiles, marquaient de leur rire le cœur de notre pauvre Noël.

Une douce rêverie s’empara du grand homme rouge. Il passa sa journée à promener ses regards vers le petit chalet dans lequel la jolie fée empaquetait et frisottait…

Les jours suivant ne calmèrent pas ce manège… Noël, trouvant des qualités de plus en plus évidentes à l’enchanteresse, qui de son côté, ne semblait même pas le remarquer… Elle lui adressait chaque matin le même sourire et le même « bonjour ! » un tantinet moqueur… mais du reste de la journée pas un regard, pas une attention…

Aussi, peu à peu, le nain libraire senti décliner l’entrain de son ami. Il avait remarqué le jeu de celui-ci, mais pensait que ce n’était rien. Cependant constatant qu’il ne mangeait plus un bonbon et refusait même de partager un petit verre le soir avant de rentrer, il décidait d’agir.

Il partit donc à la rencontre de la jolie demoiselle, sous l’œil attentif du bonhomme rouge.

-         Bonjour jolie fée des paquets !

-         Bonjour petit nain libraire !

-         Je viens vous entretenir d’une question de la plus haute importance.

-         Bien, faites mon cher, je vous écoute.

-         Connaissez-vous le Père-Noël ?

-         Mais bien sur… je le salue chaque matin… il est si jovial… et reconnaissable…

-         Et bien… il vous trouve… très à son goût…

La petite fée étouffa un gloussement…

-         Vous êtes très drôle…

-         Mais je ne ris pas du tout…

-         Enfin, vous m’imaginez en Mère-Noël ?

Le nain ne put s’empêcher de jeter un regard déconfit au Père-Noël.

Il retourna, désolé, dans sa petite boutique, sans oser aller lui parler…

 

Le moral de notre bonhomme Noël s’effondrait chaque jour un peu plus…

Voir cette jolie plante déambuler, rire, sourire à tous, sans lui accorder plus d’attention qu’aux autres, le mettait au supplice.

Les jours passaient sans qu’il n’ait plus le goût de sourire à l’objectif… il négligeait les enfants, les petits comme les grands. L’inquiétude du nain libraire augmentait à l’observer… et s’est sans grand espoir qu’il invita la fée à partager un verre avec eux le dernier soir avant Noël.

A son grand étonnement, celle-ci accepta. Elle demanda même au Père-Noël le droit de s’assoir sur ses genoux, « Pour une photo souvenir ! » lui dit-elle dans un sourire…

Celui-ci cru tout d’abord à une facétie de la petite chipie… Mais elle prit sans façon l’initiative des opérations et vint poser ses petites fesses sur ses genoux.

Après un instant de stupeur, notre homme ne résista pas et posa innocemment sa large main sur la cuisse fraiche. Il senti immédiatement la peau frissonner sous ses doigts.

Le sourire de la jolie s’élargit. Elle frémit. Le Père-Noël perçu le trouble qui la traversait.

Sautant à terre, elle tourna sur elle-même, espérant masquer la rougeur de ses joues.

-         Allons-y !

Sortant de son traîneau, Noël lui emboita le pas, suivit de près par le nain libraire.

Installé tous trois au comptoir, ils sirotèrent en riant leur verres, chacun y allant de son anecdote, pour amuser les deux autres.

Le nain se levant, prit congé. Seuls face à face, le silence s’installa… puis élargissant son sourire, la fée lui dit d’un air mutin :

-         Vous me faites rire !

-         Et pourquoi donc ?

-         Vous semblez tellement… « Trop » gentil… Elle termina sa phrase dans un gloussement.

Le Père-Noël se redressa aussitôt. La prenant pas la main, il l’entraina dans la galerie. Il la tirait derrière lui et pénétra dans une réserve. Attrapant un tabouret au vol, il s’y assit et sans ménagement coucha la belle en travers de ses genoux.

Elle tenta de se soustraire à son emprise, mais  en plus de sa grande main plaquée sur ses reins, elle fut terrassée par un long fou-rire…

Il entreprit de retrousser les frous frous de sa jupe et abattit soudain sa grande main épaisse sur la culotte de dentelle de la petite fée…

Celle-ci se tendit comme un arc sur ses genoux… il attendit un long moment, qu’elle se détende et respire plus calmement, pour claquer de nouveau les rondeurs de la belle…

Son rire avait cessé avec la première fessée… il s’était transformé en gémissements incontrôlés…

-         Tu es une très vilaine fée… lui murmura-t-il. C’est ce que tu voulais ! Une bonne fessée pour tes insolences ?

Elle baissa la tête immédiatement…

-         Me trouves-tu trop gentil maintenant ?

Elle secoua la tête, incapable d’émettre autre chose que de faibles complaintes. Elle se sentait devenir chatte… une irrésistible envie de se lover sur ses genoux, de frotter son corps contre ses jambes…

La maintenant contre lui d’une main, il caressa lentement ses dentelles, avant de lui ôter presque d’un seul geste, sa petite culotte blanche. Puis il reprit joyeusement le ballet claquant.

Il s’appliqua à ressentir chaque changement s’opérant sous ses frappes… son corps l’informait de la force de son plaisir ou de sa douleur, mieux que des mots… elle se tendait tour à tour pour esquiver ou chercher la fessée suivante… elle acceptait la punition et allait même la quérir… il lui semblait qu’elle désirait lui montrer qu’elle était vaincu, qu’elle s’offrait à lui…

Il posa enfin sa main surchauffée sur les rougeurs de la petite… pétrissant subtilement la chair brûlante. Elle tendit immédiatement sa croupe à la caresse.

-         Qu’est-ce que tu veux ? Tu peux tout me demander… je suis le Père-Noël…

Elle se mit à gémir doucement…

-         Tu veux que je te caresse ?

Son corps entier semblait crier « OUI »… Il laissa ses doigts explorer l’entre jambe de la jeune femme… Elle écarta les cuisses vivement, étouffant un cri…

-         Tu es trempée coquine… Tu n’as pas honte ?

Elle marqua un temps d’arrêt, avant de reprendre ses mouvements chaloupés. Elle ne pouvait se retenir, le désir était si intense, si présent. Elle voulait qu’il la mène au bout, elle voulait lui donner sa jouissance.

-         Tu devrais avoir honte de demander cela au Père-Noël. Mais c’est si bon… n’est-ce pas ? Et puis, le Père-Noël a le droit à son cadeau lui aussi…

Lorsqu’il pénétra enfin son sexe gorgé de miel de ses doigts, elle quitta terre… et c’est roulée en boule dans les grands bras du Père-Noël, qu’elle reprit ses esprits…

 

Cette nuit de Noël fut remplie de jeux et de rires. Notre homme ramena chez lui son joli paquet et prit tout son temps pour finir de le déballer.

Quand à la fée, même si elle ne devint jamais la mère-Noël, elle continua à venir jouer au Père-Fouettard, car rien mieux qu’une bonne fessée ne la fit rougir autant de plaisir…

 

Moralité, qui a dit que les fées ne croyaient pas au Père-Noël ?

 

JOYEUX NOEL A TOUS

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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