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Présentation

  • Lyzis et son L
  • : 10/12/2007
  • : Lire : Ici
Dimanche 5 février 7 05 /02 /Fév 07:57

Je vous présente le cadeau de mon L.

 

DSC02397.JPG

 

Par Lyzis - Publié dans : Elle
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Samedi 26 novembre 6 26 /11 /Nov 07:41

Bon, pour faire plaisir à Jeff... et parce que ce n'est pas si déplaisant finalement de se livrer autrement.

 

Attrapez le livre le plus proche, allez à la page 18, écrivez la quatrième phrase.

« Un coup d’œil à sa montre. » Si avec ça quelqu’un devine quel livre je suis en train de lire… Et puis ce n’est pas de ma faute si c’est une phrase sans verbe… ce n’est pas moi qui l’ai écrite.


Sans vérifier, devinez l'heure

7h30

Vérifiez

07 ; 25 (j’avais regardé il y a un quart d’heure en même temps… )


Que portez vous ?

Un peignoir en soie, noir… heu… c’est tout…


Avant de répondre à ce questionnaire, que regardiez vous?

Le blog de Jeff. Quelle question…


Quel bruit, entendez vous, à part celui de votre ordinateur ?

Le ronronnement du frigidaire. Et le miaulement du chat que j’ai mis dehors…


Quant êtes vous sorti pour la dernière fois, qu'avez vous fait?

Sortie de chez moi ? Et bien hier pour aller travailler.


Quel est le dernier film que vous avez vu au cinéma ?

Aucun souvenir. Ça devait vraiment pas être terrible…


Avez-vous rêvé cette nuit ?

Oui… j'en reste rêveuse...


Quand avez-vous ri pour la dernière fois ?

Hier…


Qu'y a t il sur les murs de la pièce où vous êtes?

Des tableaux, des miroirs et une horloge.

Si vous deveniez millionnaire dans la nuit, quelle est la première chose que vous achèteriez ?

Un studio pour chacun de mes enfants… loin mais pas trop…

Avez-vous vu quelque chose d'étrange aujourd'hui ?

Pas encore.

Que pensez-vous de ce questionnaire ?

Que c’est bien parce que c’est Jeff qui me l’a demandé parce que sinon…

Dites-nous quelque chose que nous ne savons pas ?

J’ai de tout petit pieds… A zut, mes lecteurs habituels le savent presque tous… ben c’est pour ceux qui ne le savaient pas.

Quel serait le prénom de votre enfant si c'était une fille ?

C’est une fille.

Et si c'était un garçon ?

C’est un garçon aussi.

Avez-vous pensé à vivre à l'étranger ?

Il y a longtemps peut être…

Que voudriez-vous que Dieu vous dise lorsque vous franchirez les portes du Paradis ?

Je ne crois pas en dieu... et donc pas non plus au paradis.

Si vous pouviez changer quelque chose dans le monde, en dehors de la culpabilité et de la politique, que changeriez-vous ?

Le climat.

Aimez-vous danser?

Oui !


Quelle est la dernière chose que vous avez regardée à la télévision ?

Scènes de ménage. Parce qu’après je ne regarde plus vraiment et avant je ne sais pas comment allumer la télé…

 

 

 

Voilà ! Je ne connais personne susceptible de répondre de bonne grace à ce genre de chose, alors la chaine s'arrête avec moi... Zut, mais oui mais c'est bien sur... j'avais pourtant juré de ne jamais entrer dans ce genre de truc... Pas de ça avec moi ! Les chaines !... Heu !!! Pas celles-ci en tout cas... Bon je ne vais pas non plus tout effacer... j'ai mis au moins... et bien voilà... 10 minutes pour écrire ça... Pffffffffffff !!! Allez ! Je fais plaisir à Jeff au moins... j'espère.

Par Lyzis - Publié dans : Petits mots
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Samedi 5 novembre 6 05 /11 /Nov 15:51

 

- Petite fleur, laisse moi contempler ton cœur… laisse mes yeux caresser ton pistil…

Voilà, ouvre toi délicatement… tourne toi bien vers la lumière que mon regard te pénètre…

Sais-tu les désirs qui frappent à mes tempes à pouvoir ainsi voir de si près tes pétales délicats vibrer et s’épanouir ? Sais-tu les fantasmes qu’un homme échafaude à la vue de tels trésors ?

Je vais te les raconter… reste ainsi… n’ouvre pas les yeux… laisse mes mots t'envahir… laisse ton nectar affluer… Je ne peux encore le voir mais son parfum m’ouvre des appétits que je veux te conter…

Je rêve de te humer d’encore plus près… de te goùter… de poser ma langue brûlante au creux de ton calice… de toucher avec son bout agile la perle… à l’orée de la corole ourlée… d’en faire le tour avec délicatesse… de remplacer mes yeux… ma langue…  par mes doigts… de frôler… effleurer… caresser… investir… pénétrer… tourmenter… assiéger… les mystères de ton réceptacle… et de faire exploser ton gynécée en longs spasmes humides et mélodieux…

Par Lyzis - Publié dans : Petits mots
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Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 08:06

De jolis souvenirs à évoquer à l’envie, à revivre, à mélanger, à extrapoler…


Nous, les couples quarantenaires, qui nous réveillons soudain en prenant conscience que la vie est courte et que l’on a encore du temps pour profiter… ou pas… chaque instant magique que nous vivons grave en nous un fantasme…


Pourquoi ne serait-ce pas ce que nous cherchons... des souvenirs à fantasmer ?

Par Lyzis - Publié dans : Petits mots
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Samedi 23 juillet 6 23 /07 /Juil 17:33

Quand perdue, Boucle d’Or rencontra Petit Ours, elle fut si soulagée qu’elle lui offrit immédiatement sa confiance. Elle se blottit contre lui et le couvrit de baisers et de regards pailletés.


Lui était charmé par tant de naturel et de naïveté.  Et il ne retint pas son désir de faire d’elle son objet d’amour.


C’est ainsi qu’il initia la belle, lui faisant découvrir les trésors de volupté que cachait son corps. Il lui apprit la nudité, la sensualité, l’abandon. Elle découvrit la gourmandise, la provocation, l’exaltation.


Il était petit, agile, doux et tendre… attentif à elle, même si par moment il devenait égoïste dans son propre plaisir.


Elle n’imaginait pas mieux.


Un jour il lui présenta Moyen Ours. Il lui dit qu’elle devait avoir autant confiance en son meilleur ami qu’en lui-même.


Elle le trouva imposant. Il l’intimidait. Bien qu’il ait un air débonnaire, il était plus distant, plus rigide que Petit Ours. Elle se cachait presque dans les pates de celui-ci dès qu’elle le sentait approcher.


Cependant ces deux là partageaient tout depuis toujours et elle ne ferait pas exception.


PO la poussa délicatement contre MO qui très adroitement appuya sans détour sur ses points sensibles. Elle était prise au piège, incapable de résister au contact nouveau qu’ils lui imposaient.


MO apprécia particulièrement sa docilité, son abandon complet dans la confiance, qui la rendait singulièrement démonstrative. Il lui apprit à se servir de lui comme outil de plaisir, à n’être elle-même plus rien d’autre qu’un objet de désir.


Son corps était plus rude, moins délicat que celui de PO, son membre plus roide et plus imposant. Elle en souffrit au départ, mais très vite les plaisirs lui permirent de détendre son corps et de se laisser fouiller et emplir sans plus de douleur, avec juste un plaisir croissant.


Elle aimait les ébats de chacun, être dans leurs bras si différents, goûter aux plaisirs que chacun d’eux à sa façon tiraient d’elle. Mais ce qu’elle préférait c’est quand les deux compères s’alliaient autour de son corps, la partageait, l’écartelaient, fusionnaient en elle ou hors d’elle.


Il lui semblait que jamais ils n’épuiseraient les combinaisons possibles de leur trio. Et cela lui donnait le vertige.


Cependant vint le temps ou les deux complices la crurent prête pour le Grand Ours. Ils l’apprêtèrent soigneusement, coiffant ses boucles blondes, épilant et lavant son corps d’albâtre, massant d’un onguent parfumé ses muscles et ses courbes souples.


Elle jouissait pleinement, se laissant manipuler, s’abandonnant au plaisir de n’être plus qu’une petite chose sous leurs volontés, l’objet précieux de toutes leurs attentions. Elle ne cherchait pas à savoir les raisons de leur empressement, juste profiter.


Enfin, ils l’entrainèrent à leur suite rayonnante et excitée par les caresses amorcées.


Grand Ours était majestueux, le poil soyeux, l’œil inquisiteur. Sa voix profonde et rauque provoqua chez Boucle d’Or un frisson.

PO et MO la rassurèrent, lui assurant qu’elle pouvait en lui avoir confiance comme en eux.


Grand Ours pris le temps de la dévorer de ses yeux brillants, elle sentait couler sur elle l’étincelle du désir qui s’allumait en lui. Elle en tremblait mais plus de ravissement que de peur.


Il entreprit alors de s’emplir de ses parfums, frôlant son corps de son nez humide. Ce contact étrange fit tomber ses dernières retenues et quand de sa langue il chercha ses arômes, elle entra en transe et lâcha prise.


Quand elle reprit ses esprits et voulu à son tour goûter et offrir du plaisir au grand animal, la frayeur remonta dans ses tripes. Le membre dont il était pourvu dépassait ce qu’elle aurait jamais pu imaginer.


Elle se sentit soudain si petite et désarmée qu’elle chercha des yeux le secours de ses deux amants. Ils étaient tout proches, les yeux remplient du plaisir de la voir, à leur ami, si attentive. Ils s’approchèrent et la caressèrent pour apaiser l’effroi de son regard.

Elle se raccrocha à leur tendresse et laissa le délice monter à ses lèvres. De ses deux mains et de sa bouche elle enlaça interminablement le chibre dressé, oubliant l’épouvantable perspective d’accueillir en son ventre ou en ses reins cette démesure.


Grand Ours savait d’expérience, qu’une si petite chose blonde ne survivrait pas à un assaut direct. Il voyait aussi aux gestes de ses compagnons l’attachement qu’ils avaient d’elle et décida donc de retenir ses ardeurs et de la laisser se mettre à ses mesures.


Il engagea PO et MO à la préparer pour lui. Ils la besognèrent sous sa direction avec application et quand elle fut suffisamment écartelée et frustrée, ils la déposèrent sur ses genoux.


Elle vint d’elle-même frotter sa fleur inondée contre le désir turgescent du grand mâle. Il se délectait de son indécence. Ni tenant plus elle glissa le gland entre ses lèvres en feu et n’écoutant que le brasier qui dilatait ses entrailles, elle s’empala lentement, faisant disparaitre en elle l’impudique.


Les deux compères en voyeurs avertis apprécièrent l’érotisme obscène du tableau, tandis qu’elle luttait entre la douleur et l’extase. Soudain son corps lâcha. Le peu de conscience qui en elle bataillait contre l’inconcevable, cessa la lutte. Grand Ours sentit le fourreau tendre, fondre autour de son sexe et su qu’elle était toute à lui.


Il joua longuement en elle. Elle qui n’était plus qu’une petite chose creuse que lui seul emplissait. Quand il sentit qu’elle perdait ses forces, glissait vers l’inconscience et n’avait même plus d’orgasme, il laissa l’éruption jaillir. Elle en perdit conscience et lui poussa un rugissement terrifiant.


Depuis, son corps à elle s’est adapté contre tout ce qu’elle imaginait. Il n’a plus à avoir peur de perdre ce jouet si précieux. Les trois compères partagent le plaisir et Boucle d’Or n’a jamais chercher à retrouver sa maison…


FIN

Par Lyzis - Publié dans : Fantaisies imaginaires
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