Lyzis et son L
Soirée BDSM privée… elle s’était apprêtée pour être irrésistible… à ses yeux mais aussi à ceux des autres qu’il aimait voir la regarder.
Elle portait ses escarpins vernis… si hauts… qu’elle devenait aussi grande que lui, l’ensemble « Maison close » qu’il lui avait choisi : jambières, bracelets et ceinture… façon bondage à même la peau, mini soutien gorge balcon, string porte-jarretelles… enlaçant ses cuisses avant de retenir d’un seul lien ses bas de soie, jupette de tulle et de lignes graphiques… moulant à souhait ses rondeurs, le tout d’un noir profond en contraste avec la blancheur de sa peau.
Ils avaient retrouvé des personnes de bonne compagnie… connues depuis longtemps… des joueurs et joueuses pétillants et respectueux… Après des retrouvailles chaleureuses… des conversations animées autour des coupes et des amuses bouches… quelques amuses peaux aux sonorités claires… quelques chants aigus et haletants… ils avaient décidé de sortir dans la ruelle fumer une cigarette sous un réverbère.
Elle avait enfilé sur sa tenue légère, une redingote qui à y regarder de plus près… ne cachait guère que l’indispensable. Lui portait sur son pantalon de cuir et sa chemise noire, une longue veste… dans laquelle il pouvait glisser sans encombre ses instruments fétiches.
Ils chuchotaient en remplissant l’air immobile de leur fumée blanche. Adossé nonchalamment au mur, il se remplissait les yeux de son image tout en contrastes. La lumière blafarde sous laquelle elle tanguait accentuait la pâleur de son teint et le carmin de ses lèvres pleines.
La rumeur de la ville était étouffée par les hauts bâtiments borgnes qui les entouraient. Le calme feutré de l’intérieur résidait aussi à l’extérieur. Aussi furent-ils surpris par les éclats de voix des deux hommes qui pénétrèrent dans l’impasse.
Ils passèrent près d’eux sans leur jeter un regard, pris dans une conversation dont le sujet les rendait volubiles. Soudain, ils se turent et firent demi-tour. Ils s’approchèrent résolument d’elle et se plantèrent à ses côtés. C’était deux jeunes hommes… de moins de trente ans… que l’alcool désinhibait.
- Bonjour !
- Heu bonsoir plutôt !
Elle leur sourit timidement ne sachant trop comment réagir. Elle jetait des regards inquiets vers Lui qui semblait amusé par la situation. Elle ne pouvait le rejoindre… l’un des deux hommes se tenant entre Elle et Lui…
-Dis donc ! Tu viendrais pas faire un tour avec nous au fond là bas ?
Elle déclina l’invitation de la tête tout en gardant son sourire.
- Ben quoi ? T’as pourtant l’air d’attendre que ça !
L’un d’eux s’était approché suffisamment pour soulever un pan de sa veste et découvrir la tenue affolante qu’elle cachait…
D’un geste brusque elle rabattit son vêtement et son sourire fit place à un rictus de colère…
-Messieurs !
La voix calme… grave… sévère… les arrêta un instant. Elle en profita pour se précipiter dans ses bras protecteurs.
- Qu’est-ce que t’as toi ? On t’a pas causé. On veut parler à la petite dame.
- Cette jolie petite Dame m’appartient. Pour en disposer, il faut me demander la permission.
Les deux acolytes se regardèrent… visiblement surpris par le ton et la teneur des propos qui leur étaient adressés. Le plus petit des deux se planta enfin devant l’homme.
- Tu dis quoi mec ? C’est ta nana ? T’es un mac ? Nous on veut pas payer… on veut juste se
faire astiquer un coup.
- Je ne suis pas un proxénète … et ce n’est pas ma « nana ». C’est ma femme. Et je n’ai pas parlé d’argent que je sache !
Elle lui jeta un regard affolé… Que faisait-il ? Que racontait-il ? Ces deux individus lui faisaient peur… Elle se mit à tirer sur sa manche pour lui faire comprendre qu’elle voulait retourner à l’intérieur… à l’abri…
-Cesse de t’agiter, tiens-toi bien. Montre à ces messieurs comme tu es belle et docile.
Elle écarquilla les yeux… paniquée… mais les siens étaient calmes… confiants… et sa grande main pressait puissamment son épaule. Elle regarda ses pieds… respira profondément et se redressa lançant un magnifique sourire aux visages belliqueux fixés sur elle.
La concupiscence se lisait sur leurs visages. Pendant un instant elle imagina leurs yeux sortants de leurs orbites et leurs langues tombant jusqu’au pavé… façon Tex Avery… et cela la fit rire… intérieurement…
- Tu veux dire que c’est ta gonzesse et que si on te demande tu nous laisses l’emmener ?
La voix laissait transparaitre une hésitation… une question… l’incrédulité. La posture se voulait bravache… cavalière… irrespectueuse… mais les yeux étaient rivés sur le corps de la belle et transpirait de désir… comme ses mains qu’il enfonçait dans ses poches mais qu’elle imaginait moites…
- Je veux dire que si l’envie me prend et que je sens chez elle ce désir… je peux l’emmener moi-même au fond de cette ruelle et vous inviter à nous y suivre.
- Ok, nous on veut bien. Hein Frédo ?
Il s’était tourné vers son compère autant pour se donner contenance que pour obtenir son approbation. Celui-ci était fixé… immobile… hypnotisé… Ses yeux s’écarquillèrent quand l’homme déboutonna la redingote et en écarta les pans… offrant à sa convoitise le corps à peine voilé de la jolie femme… Il se mit à agiter frénétiquement la tête puis glapi : - Bon ! On y va ! On vous suit !
Elle vit un sourire se dessiner sur le visage de son homme. Elle y reconnu un mélange de plaisir… de moquerie… de calcul aussi. Il la prit par la main et l’entraina d’un pas lent et assuré vers l’obscurité de l’étroit passage. Elle sentait ses jambes se dérober… chaque pas la faisait trembler un peu plus… la présence des deux hommes derrière elle provoquait un écho d’angoisse dans sa poitrine. Elle bloquait ses pensées… refusant l’idée que ces étrangers la touchent… paniquée par le trouble insondable de l’inconnu qui s’ouvrait devant elle. Elle tentait de se rassurer en rivant son regard aux larges et fières épaules de son homme. Elle se répétait mentalement qu’il savait ce qu’il faisait… qu’il l’aimait et ne la mettrait pas en danger. Mais son esprit vagabondait d’une pensée à l’autre sans vraiment s’éclaircir… revenant sans relâche à la peur qui lui vrillait les tripes.
Il s’arrêta dans un endroit que seul la lune atteignait… pas de porte ni de fenêtre… juste quelques lucarnes tournées vers le ciel… la haut… perchées… et les murs gris resserrés autour d’eux.
-Viens par là. Ôte ta veste ma chérie.
Il la lui prit des mains et la plia soigneusement avant de la déposer au sol.
Il l’attira vers lui et avec des gestes tendres il lui fit poser les mains contre le mur. Les deux hommes restaient muets… attentifs à ce qui se passait.
- Je vais leur offrir un joli spectacle… ce qu’ils n’ont probablement jamais vu. Détends toi mon amour… oublie ce qui te retient… je suis là et je veux voir le désir dans leurs yeux… le plaisir dans ton ventre… Tu es l’agnelle au milieu des loups… mais si tous les loups veulent te croquer… je suis le seul à en décider…
Il murmurait ces mots à son oreille tout en lui enlevant sa jupe… la caressant de son souffle… de sa tranquille assurance… calmant les battements de son cœur… la ramenant dans sa confiance en lui…
Il sortit sa cravache de son long manteau et avant même que les deux autres n’aient compris ce qui se passait, il fendit l’air et l’abattit sur les rondeurs diaphanes de sa femme. Elle eu un mouvement de surprise, mais se cambra aussitôt plus encore. Un balai commença alors… les claquements s’alternaient… secs… légers… rapides… zébrant tour à tour l’une ou l’autre des fesses rougissantes…
Les deux spectateurs restèrent un moment silencieux… statufiés. Quand le petit fit un pas et parla… il rompit brutalement le charme.
- Hey ! T’as vu ça ! Une maso en plus. Quand son gros lard aura fini de nous la chauffer, sur qu’on va pouvoir la prendre comme on voudra et même elle en redemandera cette salope.
Le coup claqua ferme et dur… en plein visage… De toute la force de son corps en rotation, il avait abattu sa cravache sur la joue de l’homme qui les insultait. Celui-ci poussa un hurlement et se précipita poings en avant, aveugle de rage et de larmes. Mais avant qu’il ne l’ait atteint, il hurla de nouveau et tomba à genoux, les mains accrochées à son entrejambe.
Tout alla très vite. Elle eu juste le temps de se retourner pour constater que son homme après avoir asséné un coup de pieds entre les jambes de son agresseur, lui avait lié les mains dans le dos et finissait le travail en lui liant les chevilles. Le second personnage n’avait même pas réagi. Était-ce l’alcool… la situation étrange… l’excitation du moment ? Ses yeux écarquillés passaient de son camarade immobilisé à plat dos sur le pavé et hurlant… à la douce créature qui le fascinait.
- Ferme-la espèce de porc. Ou c’est à coups de cravache que je te coupe la langue.
La menace fit son effet. Le souvenir cuisant encore sa joue le tint coi. Il roulait des yeux affolés, de son tortionnaire à soncomplice , cherchant un appui de celui-ci qui ne venait pas.
- Toi ! Tu en veux autant ou tu préfère profiter de ce que je t’offre ?
Le regard trouble, le grand restait immobile. Il avait tout juste tourné la tête vers celui qui s’adressait à lui.
- Bon ! Je te propose un deal. Tu fais exactement ce que je te dis… et tu pourras non seulement la regarder… mais aussi… Enfin, c’est toi qui choisit.
Celui qui se contorsionnait à terre se mit à marmonner : - Frédo ! Bordel ! Qu’est-ce que tu fiches ? Massacre le cet enfoiré ! Sors-moi de là j’te dis !
Il stoppa net lorsque le bout de la cravache se posa sur son front.
Frédo sembla sortir de son hébétude. Il regarda son camarade… l’homme à la cravache… et enfin la jolie femme à demi nue… Il hocha la tête puis lança : - Ok ! Moi ce que je veux c’est la fille… je m’en fous du reste… elle est trop belle… Ok mec ! J’t’écoute.
- Salaud !
- Tais-toi le porc ! Réjouis-toi pour ton copain. Et profite de ce que tu vas voir… ça ne t’arrivera pas deux fois. Tu pourras regretter tes paroles ensuite… sans elles tu serais sans doute à sa place…
Bon ! Déjà, commence par te mettre à genoux… elle adore que les hommes soient à la bonne hauteur. Bien ! Regarde ma chérie. Un porc muselé pour toi et un chien à tes pieds.
Un immense trouble l’avait envahie. La peur était revenue… plus réelle... puis… le soulagement… la fierté… l’admiration pour son sauveur… enfin… l’incrédulité… la tension… l’orgueil… Mais jamais ne l’avait quitté le feu de son ventre… celui qu’il avait allumé de ses mots… de sa cravache…
- Allez chérie, quitte ton string. Que ce porc et ce chien puissent admirer ta petite chatte de velours… Je suis certain qu’ils n’en ont jamais vue d’aussi jolie… d’aussi nue… Tu aimes faire baver les hommes ma douce… et ceux-ci n’attendent que ça…
Elle détacha lentement ses jarretelles puis fit descendre avec lenteur et langueur le petit triangle d’étoffe qu’elle tendit à son homme. Celui-ci le fit disparaitre dans sa poche avant de lui prendre la main.
- Viens par ici. Pose un pied sur ce porc… qu’il profite du spectacle. Avance Frédo… viens goûter le miel de ma douce. Reste à genoux… Voilà… comme un bon chien… viens y mettre ton museau…
Elle sentait ses joues s’empourprer… le regard salace de l’homme ligoté sous elle… celui de celui qui avançait à quatre pattes mue par un désir libidineux… son sexe nu offert à leur concupiscence… humide du feu de son ventre… la honte du plaisir à venir… qu’elle savait ne pouvoir retenir… la volonté de son homme de la voir jouir de cette situation inconvenante… Tout concordait à lui faire perdre la tête et accepter l’érotisme de son impudeur…
Un claquement sec sur les doigts…
- Bas les pattes le chien. Tes pognes sont bien trop sales pour que je t’autorise à les poser sur mon trésor. Sers-toi de ta langue. Voilà… en douceur… goûte ce nectar… c’est celui des dieux. Et applique-toi. Si tu la fais jouir… tu auras droit à plus.
Il ne se fit pas prier. Sous les yeux exorbités de son acolyte, placé aux premières loges, il commença par découvrir du bout pointu de sa langue les plis et les contours du coquillage lisse qu’on lui offrait. Peu à peu il s’enhardit et explora plus profondément le calice. Il finit par boire et lécher passionnément la liqueur qui s’échappait des délicats pétales.
- Tu es trop goulu. Tire la langue et ne bouge plus. Laisse-la se caresser elle-même. Allez ma chérie… trouve ton plaisir. Je t’offre cette langue. Fais-toi jouir.
La honte la brûla jusqu’aux oreilles. Mais l’envie était si forte… suivre cet ordre était irrésistible…
Elle appuya plus fort sa fleur sur le muscle tendre, humide et chaud… puis balança son bassin de plus en plus rapidement… plaçant très exactement le contact aux points les plus sensibles… Et s’effondra soudain dans les bras qui l’attendaient, laissant échapper une longue plainte tandis que son ventre se crispait sous les décharges du plaisir…
- La vache ! Nico, t’as vu ça ! Putain ! C’est trop bon.
- Connard ! Détache-moi ! Je vais lui montrer moi comment je vais m’en occuper de sa gonzesse. Et vire moi ta bite de sous le nez
- Tsss ! Tsss ! Du calme ! Regarde ma chérie… tu leur fais un sacré effet à nos petits amis ! Bel engin que notre chien fou astique sous le nez de son copain ! Mais ce petit porc qui continue à grogner me semble lui aussi à l’étroit ! Frédo, arrête de te tripoter et sort donc celle de Nico… il râlera moins.
- Arrête enfoiré ! Me touche pas !
Un coup de cravache sur la cuisse l’arrêta net. Et il ne riposta plus quand son comparse extirpa son membre en érection.
- Bien… Qu’en dis-tu chérie ? Ça me plairait assez que ce chien t’honore de son dard ! En levrette ça serait l’idéal… mais je ne veux pas que tu te salisses… J’ai une idée… tu va te servir du porc comme d’un tapis ma belle. Aller, installe-toi.
Il l’aida à se placer, les genoux sur les épaules de l’homme, les mains sur le haut de ses cuisses.
- Attention, je t’interdis d’approcher ta chatte de sa bouche… il est tellement hargneux qu’il pourrait te mordre. Mais surtout, interdiction de prendre son sexe dans ta bouche… Tu as bien compris ? Quoi qu’il se passe, je ne veux pas voir sa bite en toi !
Il la tenait par les cheveux, tournant son visage vers lui. Elle acquiesça d’un hochement de tête. Elle savait que la vue de ce chibre sous son visage lorsqu’elle atteindrait la folie du plaisir la tenterait terriblement… mais bien que la salive lui emplisse déjà la bouche… elle résisterait à la tentation. Elle voulait avant tout son plaisir à lui… Il l’embrassa longuement… profondément… rallumant instantanément le feu en elle…
- Tiens le chien… enfile ça. Je t’autorise à poser tes mains sur sa taille pour t’ancrer à elle… mais pas plus. Ne t’avise pas de la caresser ou il t’en cuira.
Frédo mis le préservatif avec fébrilité et s’installa rapidement derrière l’objet de sa convoitise. Mais curieusement, une fois prêt, il resta un moment en contemplation… ses grandes mains serraient étroitement la taille fine… la blancheur de ce cul qui s’offrait à lui était accentuée par les rayons fantomatiques de la lune… le souffle rauque et haletant de son camarade atteignait ses bourses pleines… son membre douloureux de tant d’excitation lui semblait disproportionné à l’entrée délicate qu’il s’apprêtait à forcer…
Il se mit enfin en action. Avec une lenteur religieuse, il ouvrit son chemin en elle. Il fermait les yeux pour mieux profiter… de l’étroitesse du fourreau qu’il investissait jusqu’à la garde… de l’impression d’être retenu dans son retrait presque complet…
Après quelques va-et-vient lents et absolus, il sentit s’ouvrir… mollir… brûler… fondre… la chair tendre. Alors il se déchaina… ses coups de boutoir devinrent sauvage… la cadence devint infernale. Il semblait vouloir la perforer… ses doigts s’imprimaient méchamment dans sa peau. Il lançait son bassin dans des assauts violents… qu’il accentuait en la tirant vers lui.
La vague qui prit naissance dans son ventre monta en houle si puissante, qu’elle ne retint pas le hurlement qui en conclut l’explosion. Elle avait perdu ses repères qu’il continuait à labourer sa chair démantelée. Elle était défragmentée… en éclats brûlants… Elle sentait le désir de l’un en elle… de l’autre en frôlement sur son visage… de son homme présent à tout instant dans sa tête… Chaque fragment de son corps se rappelait à elle… palpitait de vie… s’envolait… Et le soleil dans sa tête… l’aveuglait… la submergeait…
Elle se sentit soudain soulevée… arrachée à l’emprise des mains carnivores… désempalée de l’épée brûlante… soustraite à la tentation… Son homme la serrait contre lui et Frédo poussait un cri de rage.
- Retire le préservatif et finis-toi tout seul.
Il n’eut pas à répéter, l’homme prit en main son membre et en quelques va et vient inonda le visage incrédule de son comparse.
- Enfoiré ! Tu vas me le payer !
Il se contorsionnait comme un diable malgré les liens qui l’entravaient.
- Allons ma chérie, retournons à la civilisation.
Il ramassa sa veste et la lui posa sur les épaules en l’entrainant tranquillement vers la lumière.
Ils ne se retournèrent pas vers les deux hommes… l’un hurlant sa rage tandis que l’autre gisait hébété et comblé…
Photos du site Maison close lingerie
Merci François.
Trouver un titre est toujours difficile... mais surprendre est toujours agréable.
J'aime vos analyses... en effet de l'extérieur... d'un œil mal avisé... elle semble subir.
Jamais elle n’aurait été si loin toute seule… même si elle en avait rêvé.
N’est-ce pas là le jeu du Bdsm ? Les maîtres n’ont-ils pas rôle et désir que de pousser leurs soumises dans leurs fantasmes profonds ? En gardant par devers eux le pouvoir de décision ultime bien sur.
Elles se laisse mener dans un jeu où tout ne tourne qu'autour d'elle finalement... Oui, vous avez raison... tout est décidé pour son plaisir car elle a la chance d'avoir un Maître pour qui cela reste la priorité...
Je suis heureuseque mon texte vous plaise, c'est la première fois que je tente ce genre de récit... assez violent ma fois... Si ça fonctionne, j'en suis très contente.
Merci encore.
Ce qui est amusant, c'est l'impact d'une telle histoire... On lit,on tremble pour cette jeune femme,(et pourtant...) puis curieusement les images restent présentes dans notre imagination toute la journée...
Que diable, je ne vous inviterais pas à une soirée BDSM...
mais continuez à nous faire rêver et frissonner de plaisir.
A bientôt Dame Lyzis
Ben zut !!! Vous ne m'inviterez pas ? Mais pourquoi ??? Je ne suis pas le diable... je vous assure... (mimique d'ange froissé...)
J'ai donc atteint un de mes buts... faire trembler le lecteur comme elle tremble elle aussi... Je voulais vraiment que l'on s'attache à elle et que l'on sente la pincée de frayeur dont elle reste d'un bout à l'autre enveloppée... Comme dans ces manèges de folie où l'on tremble en montant, où l'on hurle du début à la fin, où l'on est soulagé et heureux de l'avoir fait en descendant... La peur fait partie du plaisir.
Vous voulez bien me dire qu'elles images sont restées fixées dans votre imaginaire ? (sourire innocent)
Merci Priam, merci beaucoup. Et je vous assure, continuez de vous promener avec votre copain... le tout est de réfléchir pour savoir le rôle que vous voulez jouer... avant d'ouvrir la bouche... ;-)
car je sens que tu t'es lancé là un joli défi
J'ai pu vibrer ainsi avec ta belle soumise
il faudrait que j'arrête de fumer... aussi ;)
Merci chère Louve. Tu me connais assez pour savoir !!!
Je suis contente que ce nouveau texte te plaise.
Arrêter de fumer ? Pour éviter le danger ? Ou la peur (qui n'évite pas le danger) ? ;-)
Moi aussi... ;-)
Bravo et merci pour la qualité du récit et la tension présente du début à la fin de ce texte.
...Un homme pour qui le plaisir de sa compagne reste sa priorité. Oui, voilà une belle définition d'un maître...
Merci, je suis touchée par vos compliments et heureuse que mon texte vous plaise.
Je sais vos penchants pour les situations à fortes tensions... vos textes en sont remplis.
Heu ! (rouge écarlate) Dois-je vraiment chercher d'où ça me vient ?
Merci de passer me lire. :-)
Au fait je désaprouve totalement le comportement de cet homme avec la cravache. Je veux dire utiliser une jolie cravache pour cingler le visage d'un abruti c'est jeter des perles a des cochons (porcs en l'occurence) la ou une planche en bois aurait fait l'affaire.
Mais bon l'occasion fait le larron, pas le lardon
En même temps, on ne va pas sur des sytes à risque quand on est au bureau !!! Ce n'est vraiment pas raisonnable...
Hi hi hi !!! Je suis heureuse de vous faire cet effet la mon cher...
Trève de plaisanterie, ce pauvre homme n'a réagit qu'avec ce qu'il avait à la main... s'il avait battu sa femme avec une planche en bois... il aurait surement agis de la même façon et le porc aurait le groin applati... il serait sans doute plus tendre. ;-)