Lyzis et son L
Début : Troublante invitation
Juste avant : Troublante invitation 2
Lorsque mon hôte s’effaça pour me laisser entrer, je découvris un nouveau spectacle charmant… déconcertant…
Sa femme nous tournait le dos. Elle avait les deux mains posées sur le tablier de la cheminée… les épaules et la tête bien droites… les jambes légèrement écartées…comme perchée sur ses vertigineux talons aiguille… ses magnifiques fesses encore bien rouges semblaient tendues vers nous… soulignées par la blancheur immaculée de son chemisier cintré… à la fois totalement indécente et comme intouchable…
Une photo de Bourdin… absurde… onirique… provocatrice… troublante… palpable et déconnectée du réel…
Je restais un moment sur le seuil avant de pouvoir bouger. Mon compagnon m’avait laissé tout le temps, lui-même absorbé par la contemplation de sa belle. Il m’offrit un cognac avant de me proposer un fauteuil d’où je pouvais admirer sa femme de trois quart… et s’assit dans l’autre.
- Alors, mon cher, où en étions-nous ? Ah ! Oui ! Tu me disais que j’avais une femme excitante… c’est bien ça ?
Je déglutis pour reprendre contenance. J’étais heureux que celle-ci me tourne le dos… elle ne pouvais voir la gène qui s’emparait de moi… Je n’avais jamais parlé d’une femme en sa présence. Bien sur, avec les potes, il arrivait fréquemment que nous fassions des commentaires plus ou moins grivois sur telle ou telle nana… mais parler crument d’une femme dans son dos… alors qu’elle entend tout…
-Il est tout rouge ma chérie… je crois que tu lui fais vraiment beaucoup d’effet… Si tu le voyais…
Non, interdit de bouger ! Dîtes ma chère… je vous trouve fort effrontée… Il vous reste 20 à payer… voudriez vous que je multiplie par 2 ?
Elle se raidit aussitôt, imprimant un très léger mouvement de tête pour exprimer la négation. Elle se cambra plus encore, dans une posture quasi improbable. Je n’avais jamais vu une femme creuser à ce point ses reins. Cela accentuait la finesse de sa taille… épanouissait la rondeur de ses fesses…
-Je préfère ça. Mon ami aussi d’ailleurs… il est hypnotisé par votre cul…
Tu vois les mouvements imperceptibles de son ventre ? Là, elle doit fondre littéralement… Elle ne voit pas ton regard… mais elle l’imagine très bien…
N’est-ce pas ma chérie ? Vous n’avez pas honte de provoquer ainsi mon ami ?
Dois-je lui demander de se rhabiller ?
- Non, non ! Heu ! … Au contraire !... Je trouve ça… délicieux… Enfin, je veux dire… ça me plait beaucoup comme ça…
Je cherchais mes mots… encore trop paniqué pour parler normalement. Mon collègue avait le visage hilare. Je le sentis soudain prêt à éclater de rire. Cela me piqua au vif. J’étais vexé de ne pas pouvoir me maîtriser, de lui sembler ridicule. Et elle… qu’allait-elle penser de moi si je ne me montrais pas à la hauteur ? Je voulais l’impressionner « Elle ». Je voulais lui plaire. Je ne supportais pas l’idée qu’elle se moque de moi… qu’elle me trouve idiot. Je bus d’une traite mon verre pour me donner du courage et reprendre la main.
- Franchement, comment ne pas admirer une telle… croupe !
Je rougissais d’utiliser un tel mot en sa présence. Je m’attendais à la voir se retourner et me fusiller du regard, mais au contraire, elle tendit les jambes et balança ses hanches dans un mouvement lascif.
- Ca vous plait que nous admirions ainsi votre derrière… Il faut bien dire qu’il est somptueux… surtout écarlate après cette fessée plus que mérité. Vous devriez avoir honte.
Qu’en penses-tu n’est-ce pas honteux de prendre une fessée ainsi, devant ses invités ?
- Oui ! Honteux ! Mais délicieux pour l’invité…
- C’est vrai. J’ai remarqué à quel point tu as apprécié… Il faut avouer que voir ainsi une femme digne et tout, bien sous tout rapport, et belle en plus, presque hautaine même… se prendre une bonne fessée, comme une vilaine gosse qu’elle est restée au fond… ça remue…
Il me faisait des clins d’œil me désignant du menton les changements plus ou moins visibles dans la posture de sa femme. Elle se redressait parfois sur ses pointes de pieds… penchait la tête… tanguait du bassin… levait ou baissait les épaules… Mais ce qui me fascinait le plus était les contractions de son ventre… je pouvais voir le petit triangle sombre bouger imperceptiblement… J’imaginais la moiteur qui devait immanquablement se répandre au creux de ses cuisses écartées… Mes doigts me démangeaient à l’idée de palper ses fesses rondes et épanouies qu’elle tendait démesurément vers nous…
- Bon, ce n’est pas le tout…Nous bavardons, mais j’ai un travail à terminer avant de boire un troisième cognac…
Je la vit se raidir tendit qu’il quittait tranquillement son fauteuil. En passant près d’elle, il caressa nonchalamment ses rondeurs qu’elle tendit encore plus vers lui en gémissant doucement.
- Allons, ne cherchez pas à m’amadouer… vous n’avez que ce que vous méritez.
De là où j’étais, je vis se dessiner un sourire sur les lèvres de la belle qu’elle mordilla aussitôt. Je n’arrivais pas à déterminer si ce qui devait se passer l’effrayait… la gênait… lui plaisait… C’était troublant de s’interroger ainsi sur ce qu’elle ressentait. Je me rassurais en me disant qu’elle se serait dérobée si au fond elle n’avait pas été consentante.
Pendant que je me posais toutes ces questions, mon ami avait disparu et lorsqu’il revint, je fus impressionné par ce qu’il tenait en mains. Des instruments qui en temps ordinaires m’auraient paru barbares… mais qui dans ces circonstances particulières me frictionnèrent l’imaginaire…
Deux longs et lourds martinets de cuir qu’il faisait doucement tournoyer…
- Combien nous doit-elle encore ? Je ne m’en souviens pas… 20 ? 30 ? 40 ?
Tu t’en souviens toi ?
- 20 ! Dit-elle d’une voix rauque…
- Vous avez donc retrouvé la parole ! Bien ! Allons-y pour 20. Mais attention… interdiction de jouir avant la fin ou nous recommençons au début.
Elle se crispa.
- Je ne plaisante pas. D’ailleurs… si vous résistez… je vous promets une récompense… un petit plaisir… Celui que je ne sors pas assez à votre goût et tout en douceur comme vous aimez…
Cette fois-ci elle tourna la tête vers lui et je devinais un sourire de gratitude et des yeux pétillants de désir… Je n’avais aucune idée de la teneur de sa promesse, mais cela ne me troublait plus… J’étais dans l’attente curieuse et déjà excité de ce qui allait se produire, mais finalement, sans inquiétude.
L’idée qu’elle pouvait jouir sous des coups de martinets, m’intriguait. Ma présence indiscrète augmentait l’érotisme de la situation et je me laissais envahir par les émotions, bien décidé à en profiter.
Après : Troublante invitation 4
Hi ! Hi ! HI ! j'adore les expression comme "Diable !" ou "Morbleu !"
En vrai je l'ai terminée hier... mais je la publie au compte gouttes parce que... parce que... Enfin... elle n'est pas si longue... encore 2 posts et ce sera terminé.
Je ne sais pas si vous imaginez le plaisir que me procurent vos petits commentaires... mais j'avais envie de vous le dire... alors... Merciiiii