Lyzis et son L

En un bond il fut sur elle. Il empoigna ses cheveux d’une main et sa taille de l’autre.

La collant contre lui, il tira son visage en arrière afin de plonger dans ses prunelles assassines.

Il prit sa bouche avec violence et l’investit de force.

Elle commença par le frapper… râler… le pousser… gémir… se tendre… se laisser faire… répondre…

Il l’éloigna de lui pour éclater de rire. Aussitôt, elle se mit à le frapper de toutes ses forces.

- Oui ! Oui ! Je sais… tu veux que je te corrige pour t’être encore abandonnée…

Viens par ici !

Il ne lâcha pas ses cheveux, mais la maintint loin de lui pour éviter les petits poings rageurs.

Arrivé au lit, il s’y assit et l’installa sans ménagement en travers de ses genoux.

D’une main, il plaquait son bassin contre lui, de l’autre, il commença à frapper ses fesses.

Si elle tenta quelques instants de s’échapper, elle comprit vite que c’était inutile… il était bien plus fort qu’elle… elle ne pouvait plus y échapper.

Elle se raidit pour lui exprimer sa révolte… elle ne voulait pas lui faire le plaisir de la vaincre si facilement… et elle se haïrait définitivement si elle cédait une fois de plus à sa chaire… sa chaire si faible… Pourquoi ne pouvait-elle résister à cet homme ?... Elle avait passé sa nuit à chercher des réponses… Aie !

Une claque plus prononcée que les autres la ramena à son état… ses joues s’enflammèrent dans l’instant.

Elle réalisa sa position et la honte de se faire gourmander comme une enfant.

Au même moment lui revint en mémoire quelques fessées prisent durant son enfance et la facilité à en atténuer la douleur, simplement en se laissant aller…

Elle relâcha ses muscles… essayant de prévoir l’impact et d’en atténuer les effets… une forte chaleur se répandait à la surface entière de ses rondeurs… elle se laissait envahir... de plus en plus calme…

Il sentit le relâchement… l’apaisement…

Elle ne résistait plus… elle subissait sans crainte…

Il cessa donc et avant qu’elle ne réalise… il la troussa… remontant le drap et découvrant pour son plus grand plaisir le cul de la belle…

Elle allait se remettre à hurler et à se débattre… mais il abattit sa main si vite et si violemment qu’il lui coupa le souffle.

Il ne la releva pas immédiatement… ne résistant pas à toucher le fessier qui le mettait en appétit.

Cette caresse lui sembla un baume de fraîcheur sur sa peau en feu… et elle s’y abandonna malgré elle… sa peau frémissait sous les doigts qui la palpaient… ses jambes se tendaient pour mieux profiter du contact…

Mais il avait promis… et ce cul manquait encore de couleurs à son goût…

Il releva donc la main et repris la danse claquante sur les monts ronds qui se mirent à danser…