Lyzis et son L
Ses mains papillons, volettent sur sa peau chaude et souple…
Il se laisse frôler, mesurer, palper…
Sa bouche comme une fleur rouge et humide, hume ses creux…
Il se laisse visiter, mordiller, mouiller…
Elle est à la fois si téméraire, osant le caresser de sa langue agile… et si timide, ne s’aventurant pas au-delà de la peau visible…
Lui reprend l’initiative en dégrafant sans brusquerie la jupe, qui se pose mollement autour des pieds nus de la belle.
Il s’échappe alors de leur étreinte pour emplir son regard de ce corps inconnu…
Elle ne porte plus qu’une petite culotte de coton blanc… si fine qu’elle laisse deviner le moindre de ses plis, la plus tendre de ses formes, le plus osé de ses épanchements…
Il sait la douceur de ses lèvres sacrées, sans même les avoir touchées… il sait l’abondance de son miel, sans même y avoir goûté…
Et cette vision augmente encore, comme si ce fut possible, l’étroitesse de son pantalon…
Elle se redresse sur ses pointes de pieds… tend son buste vers lui, les mains dans le dos pour tirer ses épaules en arrière… bascule son bassin provoquant une cambrure vertigineuse…
Une soudaine envie de la voir déambuler ainsi, mais parée de hauts talons, le fait s’agenouiller de nouveau…
Elle tend docile ses pieds et le laisse la chausser de ses fameux nu-pieds vernis d’une hauteur démesurés.
Sans même qu’il le lui demande, elle commence une lente promenade dans le magasin désert…
Les talons aiguilles lui donnent une démarche dansante… ils accentuent la cambrure de ses reins… aident la petite culotte immaculée dans son accompagnement des mouvements et de la courbure tentante de ses fesses…
Il la désire si violemment, qu’il doit se retenir de ne pas se relever et la basculer sur le dossier d’un fauteuil, lui arracher le tissu tendu et la prendre tel un soudard, d’un seul et rude coup de rein…
Ses pensées font trembler ses mains, mais il se maîtrise… il veut encore en profiter…
Si je le rencontre, je vous préviendrai... Comptez sur moi...
Et pourquoi il se maitrise? il profite, il profite...euh, nous aussi! :-)))
Je me suis trompée...
Il était trop tôt pour réfléchir je crois...
Mais c'est réparé...
Pourquoi il se maîtrise ?
Parce que certains le font très bien pour notre plus grand plaisir...
Parce que les fantasmes sont bons...
Parce que il profite et vous aussi... ;-)
je vous embrasse.
Je tente de comprendre les sentiments des hommes en les racontant...
Je suis très heureuse de m'aprocher un peu de la vérité... ;-)
L'excitation... c'est la cerise sur le gâteau... lol!
Bises. Zeus.
;-)
Quand aux talons... un apparat dont on peut user avec diversité et gourmandise... ^^
Heureuse que mes mots vous parlent.
Les talons... fantasme par lequels on se sent déjà autre... parfois!
il est où ce vendeur qui par ses gestes sussure
qu'il est bon de se faire désirer dans la douceur
pour oublier qui est chasseur, chassée ou chausseur ?