Lyzis et son L
Absorbée par ma lecture… je n’ai rien vu venir.
Une chaleur soudaine dans mon dos me pousse à me retourner.
Et mes yeux se posent sur son membre droit et fier.
Je lève lentement mon regard vers son visage. Feignant de ne pas comprendre ce qu’il attend de moi. J’aime quand il me demande…
- Je veux sentir ta bouche douce.
Reposant mes yeux sur sa queue, je me laisse imaginer la douceur de son gland rond, la chaleur de sa peau lisse et l’ampleur de sa raideur dans ma bouche…
Je réalise, avant même de poser mes lèvres sur lui, que mes cuisses se sont écartés d’elles même, laissant une chaude humidité se répandre…
Mer 11 jun 2008
2 commentaires
Cela tiendrait-il de la loi des vases communiquants ?
Lyzis
Je reconnais que c'est assez excitant
quand avec des yeux suppliants
de douceur réclamant notre bouche
innocemment on joue la farouche
Parce qu'on aime qu'il nous demande
qu'il a envie voir sur lui notre langue
Et que dans le sourire de l'acceptation
notre corps se mette en ébulition ;-)
quand avec des yeux suppliants
de douceur réclamant notre bouche
innocemment on joue la farouche
Parce qu'on aime qu'il nous demande
qu'il a envie voir sur lui notre langue
Et que dans le sourire de l'acceptation
notre corps se mette en ébulition ;-)
Multi-sourires - le 12/06/2008 à 13h40
Je savais que vous comprendriez mon émoi...
Lyzis
L'idée qu'une queue fermement dressée puisse faire s'ouvrir spontanément les cuisses d'une femme est tout à fait jubilatoire... Et ce qui est réjouissant, c'est que l'inverse est également vérifiable.