Lyzis et son L
Ma très chère, ma mie…
Comment pourrais-je vous cacher vos effets sur ma personne ?
Lorsque vos yeux accompagnent de leurs éclairs mutins, un sourire qui me pousse à l’envie de vous embrasser !
Vos lèvres charnues, vos dents blanches, le bout de votre langue goûtant, gourmande, vos doigts sucrés… et me voici prêts à butiner et manger à genoux, votre bouche…
Que dire des douces rondeurs de votre gorge, que vos dentelles cachent si peu ? Sous mes doigts, dans mes mains, je rêve d’en effleurer l’ovale. Et imaginer y boire, me fait désirer vos mamelles aux pointes brunes et dures…
Enfin, c’est votre cul se balançant sous mes regards, qui emporte mes derniers remparts ! L’idée même de le regarder fait se dresser ma verge à l’étroit… Quand de mes pensées je le caresse, une douleur en moi se crée. Et si d’aventure je laisse mes songes errer, c’est en lui assurément, que mon foutre je désire lâcher.
Je ne peux ajouter d’autres mots pour vous décrire l’envie que j’ai de vous… et je suis au désespoir d’être par vous rejeté, pour mes trop directes entreprises…
Alors, en plus de vos charmes physiques, je vous sais d’autres qualités… et comptant sur votre liberté d’esprit, votre gentillesse naturelle et votre goût prononcé pour les jeux libertins, je vous demande humblement indulgence…
Et vous promets sur mon cœur enchaîné aux délices de votre beauté, que vous ne regretterez de m’accorder vos faveurs, afin que je puisse m’employer à vous combler…
Votre admirateur dévoué et érigé…