Lyzis et son L
Début : Le petit chaperon
rouge
Le loup était sûr de lui. Il n’était pas né de la dernière pluie et connaissait les pièges qui lui seraient tendus…
Il parti donc tranquillement vers le logis de « la mère grand ».
Celle-ci était loin d’être une grand-mère. Elle possédait une jolie petite maison, légèrement isolée, où elle recevait à toute heure. Aussi, quand le loup se présenta à sa porte, elle ne prit pas garde et le laissa entrer sans méfiance.
Celui-ci s’approchant de la peu farouche hôtesse, pris rapidement la décision de calmer sa faim en la dégustant rapidement.
L’entraînant promptement sur le lit, il la butina tant et si bien qu’elle partie en une extase fort bruyante… Pour le remercier de s’être si bien occupé d’elle, elle lui proposa de lui rendre la pareil et de le manger à son tour… Mais il refusa préférant réserver ses ardeurs à la chair tendre qui ne manquerait pas d’apparaître bientôt.
C’est donc sans résistance aucune, que « la mère-grand » laissa le loup seul en sa demeure tandis qu’elle s’allait vaquer à d’autres occupations.
Quand le petit chaperon rouge arriva enfin devant la maisonnette, le loup était déjà dans la place depuis un bon moment. Il y avait pris ses aises, connaissant suffisamment les lieux.
Elle frappa timidement, connaissant elle-même cet endroit depuis peu.
« Tire la bobinette et la chevillette Cherra » entendit-elle crier à travers la porte.
Sans hésiter plus avant, elle pénétra dans la maison. Le loup l’attendait impatient dans l’ombre.
-Mets- toi à l’aise. Lui proposa-t-il aussitôt la porte close.
La voix profonde du loup l’a fit sursauter. Il s’avançait vers elle les mains tendues.
-Que vous avez de grandes mains ! s’étonna-t-elle…
-C’est pour mieux te déshabiller mon enfant. L’entendit-elle répondre.
Et joignant le geste à la parole, il s’activa si vite autour d’elle, qu’elle se retrouva en petite culotte en moins de temps qu’il ne lui en avait fallu pour l’entendre…
-Tu es une tricheuse !lui susurra-t-il, ironique et pervers…
-Mais …
-Tu as perdu ton défi…un large sourire éclairait ses yeux sombres…
-Je ne pouvais rester la journée entière ainsi ! murmura-t-elle d’une petite voix inquiète…
-Je vais être obligé de te donner un gage… ou une punition…
Le ton mielleux du loup, son arrogance soudaine et sa stature au dessus d’elle… faisaient naître en son coeur une terreur sourde… Et si c’était vrai… si désobéir finissait toujours mal ! Si maman avait raison ! Si…
Lorsqu’il posa ses fortes mains sur ses hanches pour lui arracher violemment le mince tissu qui lui restait, elle se mit à trembler d’affolement… La maintenant à bout de bras, il la regardait patiemment, attendant le retour au calme en se rinçant l’œil…
Quand elle se décida à relever les yeux pour comprendre ce que ce calme précédait, elle vit son regard d’envie posé sur elle et une douce chaleur envahie son corps, prenant sa source à l’endroit même où les mains la touchaient. Elle ne pu s’empêcher de lui sourire timidement et lui dit de sa petite voix : -Que vous avez de grands bras !
-C’est pour mieux t’emporter mon enfant.
Et sans peine aucune, il l’enleva de terre, serrant son petit corps encore frissonnant contre lui. Elle ne retint pas son envie et laissa sa tête aller contre le torse nu du loup.
En trois pas celui-ci l’emmena dans la chambre où avec délicatesse, il la déposa sur le grand lit en fer.
Elle ouvrait de grands yeux, aussi étonnés qu’apeurés. Posant instinctivement ses petites mains sur sa poitrine et son intimité.
-Que vous avez de grands yeux ! lui dit-elle soudain…
-C’est pour mieux te voir mon enfant… Alors ôte tes mains que je te regarde…
Elle se sentie aussitôt rougir de honte et prenant un air boudeur, elle arrima ses menottes où elle les avait placées.
Le loup sans un mot sorti un lacet de cuir de la poche de son pantalon et avec des gestes sûrs, fermes et puissant, il lui lia de force les deux mains ensemble au dessus de la tête. Elle commença à se tortiller pour ramener ses bras sur son corps. Alors, toujours sans parole, il attacha le tout à un barreau du lit.
Ainsi couchée, à plat dos sur ce lit, nue sous ces yeux inquisiteurs, elle commençait à s’affoler de nouveau…
Le loup s’assis près d’elle et lentement, posa ses mains sur la peau tendre… l’épiderme se crispa sous ses doigts… d’un mouvement léger, il palpa et chercha à détendre les muscles qu’il sentait frémir.
Peu à peu, il perçu un changement… la peau chaude devenait souple sous ses caresses et les frémissements plus aléatoires… il la sentait se calmer, se laisser ressentir…
Il afficha un grand sourire en se tournant vers son visage…
-Que vous avez une grande bouche ! murmura-t-elle, les yeux brumeux plantés au fond des siens.
-C’est pour mieux t’embrasser mon enfant. Murmura-t-il lui aussi d’une voix grave et voilée…
Sa bouche pleine, aussi appétissante qu’un fruit mur et juteux, le séduisait comme s’il n’avait pas mangé depuis des lunes… Irrésistiblement, il était attiré vers ses lèvres…
C’est avec beaucoup de douceur, qu’il y déposa les siennes pour un baiser goulu. Elle sentait la douceur de la bouche sur la sienne, et désirait que cela ne s’arrête plus… Elle ne pouvait empêcher ses lèvres de rendre la pression qu’elles recevaient.
Soudain, d’une poussée ferme, il pénétra la barrière de ses lèvres serrées et envahit sa bouche. La fraîche langue de cette fille excitait ses appétits. Il se mit à jouer avec elle un ballet de caresses qui enflammait leurs palais.
Puis, quittant ses lèvres, il descendit, de baisers en effleurements légers, le long de son cou. Embrassant, goûtant du bout de la langue, la peau fine de son col, les rondeurs de sa poitrine, la fermeté des petits bouts érectiles, la tendresse de son ventre plat. Humant la délicieuse odeur de fruit montant de ses cuisses tendues.
Il approcha lentement le bout de sa langue de son petit bouton… Le frôlant à peine pour commencer…
Elle ne pu retenir la vague brûlante qui montait dans son ventre… Elle se senti partir inexorablement sous la sensation intense qu’il provoquait par sa façon de la goûter…
Il attendit patiemment qu’elle revienne… La respirant profondément. Emplissant son cerveau de ses parfums…
Lorsqu’elle se détendit de nouveau entre ses mains, il reprit la course sur son clitoris enflammé. Il se fit plus inquisiteur en attaquant de façon plus incisive son fruit gonflé de désir.
Irrésistiblement, elle sentait ses jambes s’écarter. Il percevait lui aussi le mouvement lent de ses cuisses qui s’ouvraient pour lui.
La contrainte ne suffisait pas à contenir ses envies. Elle ne contrôlait plus. Elle voulait plus. Elle voulait sentir sa faim d’elle. Elle voulait qu’il la dévore, la prenne, la fasse sienne.
Avec audace, ses lèvres épousant les siennes, il investi de sa langue le calice fruité de la fille.
De son excitation son miel avait pris un goût de fruit sucré… il s’en imprégnait avec délectation.
Passant avec gourmandise sa langue sur ses lèvres, il leva la tête pour la regarder. Il ne pu retenir un sourire de satisfaction, dévoilant sa dentition carnassière, en découvrant le petit visage perdu dans une béatitude trouble…
Plantant une fois de plus ses grands yeux dans les siens, elle dit d’une voix rauque trahissant son émoi : -Que vous avez de grandes dents !
-C’est pour mieux te manger ! lui répond-il dans un éclat de rire.
Plongeant sur son cou fragile, il y planta les dents, à la limite de la blesser.
Elle se crispa sous la peur de la douleur… Son corps entier se raidit sous la surprise.
Il lécha avidement les traces rosées de ses canines sur la peau tendre.
Il posa ensuite ses lèvres à la pointe de ses seins et mordilla très doucement les tétons.
Elle était au supplice. Partagée entre une peur panique qu’il lui fasse du mal et un plaisir intense qu’elle ne voulait pas voir s’échapper…
Mordant sans vraiment mordre, il descendait sur son corps et approchait de la fontaine…
Une panique indicible s’emparait d’elle. Une peur grandissante tétanisait ses muscles. Ses cuisses qui s’ouvraient d’elles même quelques instants auparavant, étaient verrouillées aussi étroitement que possible.
Elle aurait voulu pouvoir soustraire son intimité aux dents toutes puissantes. Elle se sentait soudain si vulnérable…
Lorsqu’il posa ses dents avec délicatesse sur son sexe, c’est une décharge électrique qui traversa son échine. Il ne bougeait pas, ses canines effleurant la peau sensible. Imperceptiblement, il avança la langue entre ses dents et pénétra à l’intérieur de la fleur trempée…
Elle perdit tout à coup pied… son plaisir la submergeait une fois de plus, emportant sa raison et sa peur dans un délire où ses cris eux même n’avaient plus de retenue…
Il senti son corps réagir avant même qu’elle ne sembla en être consciente. Retenant la pression de sa mâchoire sur ses lèvres gonflées, il continua ses caresses.
Puis, prenant garde de cacher ses crocs sous ses lèvres gourmandes, il se releva pour la regarder.
Son corps était secoué de spasmes. Elle était tendue comme un arc, entre ses poignets liés et ses jambes serrées.
Elle ressemblait à une liane ferme, aux courbes dures, aux nerfs à fleurs de peau. Une chair douce et pleine cachant la force de ses émois, la puissance de ses jouissances.
Il posa la tête sur son ventre, une main caressant son visage et attendit tranquillement l’accalmie.
Elle se laissait bercer par la houle qui la faisait tanguer, ne pensant plus, ne voyant plus, ne sentant plus qu’une plénitude cotonneuse…
Pour ce qui est le moins......:
......(...)....Quand le petit chaperon rouge arriva.....(...)...les deux mains ensemble au dessus de la tête......(...)...le tout à un barreau du lit.
Pour ce qui est le plus: il est à inventer...
Oui,
Nous prendrions......"Attache"....
Hé Hé
Comme le Renard.....
Mâtiné de
Loup.....
et
de
Sauvageries.....
Pré-Parez-Vous Donc....
Vous avez/auriez....
"Peur" du Loup...?
Pas du Renard, tout de même !!!